- Texte visé : Texte de la commission sur la proposition de loi de Mme Aurore Bergé, M. Laurent Marcangeli, Mmes Fadila Khattabi, Astrid Panosyan-Bouvet, Laurence Cristol, Monique Iborra, Annie Vidal, MM. Didier Martin, Cyrille Isaac-Sibille, François Gernigon, Mmes Caroline Janvier, Chantal Bouloux, Nicole Dubré-Chirat, Béatrice Piron, MM. Jean-François Rousset, Freddy Sertin et plusieurs de leurs collègues portant mesures pour bâtir la société du bien vieillir en France (643)., n° 1070-A0
- Stade de lecture : 1ère lecture (1ère assemblée saisie)
- Examiné par : Assemblée nationale (séance publique)
I. – À la quatrième phrase, après le mot :
« rémunérations »
insérer les mots :
« et une formation »
II. – En conséquence, à la même phrase, après le mot :
« domicile »
insérer les mots :
« , des auxiliaires de vie et des assistants de vie ».
Aujourd’hui de nombreux jeunes se dirigent vers les filières SAPAT (service à la personne en milieu rural).
Ces formations sont tout à fait adaptées pour intégrer les services d’aides à domicile. Néanmoins, de nombreux jeunes se dirigent vers des formations d’aides-soignants et puériculture notamment car les métiers du domicile sont peu reconnus et ne sont pas suffisamment valorisés.
Il devient impératif de donner un coup de projecteur à toutes ces personnes qui se dévouent et qui aiment leur métier, au service des plus fragiles, et à leur domicile.
Si rien n’est fait rapidement, nous connaitrons un grave problème de recrutement et de remplacement des assistants de vie et auxiliaires de vie dans les prochaines années.
Cet amendement vise à dynamiser le secteur de l’aide à domicile et rendant plus attractif ces métiers.