Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Jean-Claude Raux
Photo de madame la députée Chantal Jourdan
Photo de monsieur le député Joël Aviragnet
Photo de monsieur le député Laurent Panifous
Photo de monsieur le député Sébastien Jumel
Photo de monsieur le député Benjamin Lucas-Lundy
Photo de monsieur le député Gérard Leseul
Photo de madame la députée Alma Dufour
Photo de madame la députée Cécile Untermaier
Photo de madame la députée Caroline Janvier
Photo de madame la députée Maud Petit
Photo de madame la députée Karen Erodi
Photo de monsieur le député Laurent Esquenet-Goxes
Photo de madame la députée Martine Etienne
Photo de monsieur le député Philippe Fait
Photo de monsieur le député Olivier Falorni
Photo de madame la députée Elsa Faucillon
Photo de monsieur le député Emmanuel Fernandes
Photo de madame la députée Marina Ferrari
Photo de madame la députée Sylvie Ferrer
Photo de madame la députée Caroline Fiat
Photo de monsieur le député Charles Fournier
Photo de monsieur le député Bruno Fuchs
Photo de monsieur le député Perceval Gaillard
Photo de madame la députée Marie-Charlotte Garin
Photo de madame la députée Florence Goulet
Photo de madame la députée Justine Gruet
Photo de madame la députée Clémence Guetté
Photo de monsieur le député David Guiraud
Photo de monsieur le député Yannick Haury
Photo de monsieur le député Jérémie Iordanoff
Photo de madame la députée Sandrine Josso
Photo de monsieur le député Hubert Julien-Laferrière
Photo de madame la députée Émeline K/Bidi
Photo de madame la députée Rachel Keke
Photo de monsieur le député Andy Kerbrat
Photo de monsieur le député Bastien Lachaud
Photo de madame la députée Julie Laernoes
Photo de monsieur le député Maxime Laisney
Photo de monsieur le député Pascal Lavergne
Photo de monsieur le député Arnaud Le Gall
Photo de monsieur le député Tematai Le Gayic
Photo de monsieur le député Antoine Léaument
Photo de madame la députée Karine Lebon
Photo de monsieur le député Pascal Lecamp
Photo de monsieur le député Jean-Paul Lecoq
Photo de madame la députée Charlotte Leduc
Photo de madame la députée Sarah Legrain
Photo de monsieur le député Stéphane Lenormand
Photo de madame la députée Murielle Lepvraud
Photo de monsieur le député Frédéric Maillot
Photo de monsieur le député Emmanuel Mandon
Photo de monsieur le député Emmanuel Maquet
Photo de madame la députée Alexandra Martin
Photo de madame la députée Pascale Martin
Photo de monsieur le député William Martinet
Photo de monsieur le député Denis Masséglia
Photo de monsieur le député Frédéric Mathieu

Dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport examinant la possibilité de créer une année préparatoire aux études de médecine s’adressant en priorité aux lycées mentionnés à l’article L. 632‑6‑1 du code de l’éducation.

L’année préparatoire aux études de médecine est une formation d’une durée d’un an proposant aux étudiants, immédiatement après l’obtention de leur baccalauréat, une remise à niveau en vue de l’entrée en parcours d’accès spécifique santé et du passage du concours d’accès à la deuxième année d’études de médecine. La validation de l’année préparatoire aux études de médecine permet l’inscription l’année suivante en parcours d’accès spécifique santé.

L’année préparatoire aux études de médecine vise à renforcer les connaissances dans les disciplines fondamentales, acquérir des méthodes de travail adaptées au milieu universitaire et initier aux disciplines du domaine de la santé, et plus particulièrement de la médecine.

Exposé sommaire

Cet amendement du groupe de travail transpartisan sur les déserts médicaux propose la remise d’un rapport du gouvernement sur la création d’une année préparatoire aux études de médecine.
 
Cette formation, accessible aux étudiants immédiatement après l’obtention de leur baccalauréat, permet une remise à niveau en vue de l’entrée en Parcours d’Accès Spécifique Santé et du passage du concours d’accès à la deuxième année d’études de médecine. Cette formation viserait en priorité des territoires possédant un taux d’accès aux études de médecine particulièrement faible et caractérisés par une offre de soins insuffisante.
 
Cette formation de renforcement dans des matières présentes au concours d’admission en 2e année de médecine permettra de démocratiser l’accès aux études de santé et, à moyen terme, de former des médecins issus de territoires en situation de désertification médicale, compte tenu du fait que l’attache territoriale reste l’un des premiers déterminants de l’installation des médecins.