Fabrication de la liasse

Amendement n°AS40

Déposé le samedi 25 novembre 2023
Discuté
Rejeté
(mercredi 29 novembre 2023)
Photo de monsieur le député Jean-François Rousset
Photo de monsieur le député Éric Alauzet
Photo de madame la députée Fanta Berete
Photo de madame la députée Chantal Bouloux
Photo de madame la députée Laurence Cristol
Photo de madame la députée Nicole Dubré-Chirat
Photo de monsieur le député Marc Ferracci
Photo de monsieur le député Philippe Frei
Photo de monsieur le député Jean-Carles Grelier
Photo de madame la députée Servane Hugues
Photo de madame la députée Monique Iborra
Photo de monsieur le député Didier Le Gac
Photo de madame la députée Christine Le Nabour
Photo de madame la députée Brigitte Liso
Photo de monsieur le député Didier Martin
Photo de madame la députée Astrid Panosyan-Bouvet
Photo de madame la députée Stéphanie Rist
Photo de monsieur le député Freddy Sertin
Photo de madame la députée Annie Vidal

Substituer aux alinéas 3 à 5 l’alinéa suivant :

« 2° À la troisième phrase du deuxième alinéa du I de l’article L. 631‑1 du code de l’éducation, les mots : « capacités de formation et des besoins de santé du territoire, » sont remplacés par les mots : « besoins de santé du territoire et des capacités de formation ». »

Exposé sommaire

Le Gouvernement soutenu par la majorité présidentielle a décidé de la suppression du numerus clausus en 2019 afin de faire face aux difficultés de démographie médicale que connaissent les territoires. Cette réforme a ainsi permis une augmentation de plus de 24 % du nombres d’étudiants admis en deuxième année de médecine par rapport à 2018.
 
En parallèle de cette augmentation du nombre d’étudiants formés, il est nécessaire de s’assurer de la prise en compte des besoins territoriaux de santé dans la définition des capacités d’accueil des universités. Toutefois, les capacités de formation (théoriques et pratiques) doivent également être analysées afin de s’assurer de moyens de formation suffisants et adaptés.
 
En ce sens, cet amendement vise à souligner l’importance de tenir compte des réalités du terrain en matière de besoins de santé, sans instaurer pour autant un principe de subsidiarité entre ces deux critères qui ne peuvent être dissociés.