Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Julien Dive
Photo de monsieur le député Fabrice Brun
Photo de monsieur le député Vincent Descoeur
Photo de monsieur le député Jean-Yves Bony
Photo de madame la députée Isabelle Périgault
Photo de madame la députée Valérie Bazin-Malgras
Photo de monsieur le député Jean-Luc Bourgeaux
Photo de monsieur le député Pierre Vatin
Photo de monsieur le député Yannick Neuder
Photo de monsieur le député Nicolas Forissier
Photo de madame la députée Annie Genevard
Photo de monsieur le député Nicolas Ray
Photo de monsieur le député Jean-Pierre Vigier
Photo de monsieur le député Jean-Pierre Taite
Photo de monsieur le député Vincent Seitlinger
Photo de monsieur le député Patrick Hetzel
Photo de madame la députée Frédérique Meunier
Photo de monsieur le député Raphaël Schellenberger
Photo de monsieur le député Hubert Brigand
Photo de madame la députée Josiane Corneloup
Photo de monsieur le député Emmanuel Maquet
Photo de monsieur le député Pierre Cordier
Photo de madame la députée Sylvie Bonnet
Photo de monsieur le député Stéphane Viry
Photo de madame la députée Emmanuelle Anthoine
Photo de monsieur le député Francis Dubois
Photo de madame la députée Virginie Duby-Muller
Photo de madame la députée Christelle Petex
Photo de monsieur le député Vincent Rolland

Après l'alinéa 6, insérer l'alinéa suivant : 

« – sa capacité à préserver sa surface agricole utile et à lutter contre la décapitalisation de l’élevage ; ».

Exposé sommaire

Pour protéger notre souveraineté alimentaire, il faut d’abord éviter d’importer des viandes qui ne sont pas toujours soumises aux mêmes normes de production, environnementales et sanitaires que les viandes françaises. L'élevage est un pilier de l'agriculture française, contribuant à la dynamique économique des territoires ruraux. Or, de nombreux éleveurs font face aujourd'hui à des difficultés financières et structurelles qui compromettent leur viabilité à long terme et, de fait, la souveraineté alimentaire de la France. En parallèle, la préservation d'une surface agricole utile permet de produire suffisamment à l'échelle nationale, réduisant ainsi notre dépendance aux importations alimentaires. En cas de perturbations dans les échanges commerciaux internationaux ou de crises sanitaires mondiales, une capacité de production nationale solide assure un approvisionnement alimentaire stable pour la population. Cet amendement vise donc à élargir la portée des politiques publiques relatives à la souveraineté alimentaire en incluant la préservation de la surface agricole utile et la lutte contre la décapitalisation de l'élevage parmi les priorités nationales.