- Texte visé : Proposition de loi visant à préserver les droits des victimes dépositaires de plaintes classées sans suite, n° 2584
- Stade de lecture : 1ère lecture (1ère assemblée saisie)
- Examiné par : Commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l'administration générale de la République
Sous réserve de son traitement par les services de l'Assemblée nationale et de sa recevabilité
I. – À l’alinéa 5, substituer à la dernière occurrence du signe :
« , »
le mot :
« ou ».
II. – En conséquence, après le mot :
« déclaré »,
supprimer la fin de l’alinéa 5.
La mise en place de convocations par un officier de police judiciaire dans le seul but d'informer un plaignant des suites de sa plainte représenterait pour les OPJ une nouvelle masse de travail alors même que ceux-ci ne sont pas assez nombreux et font face à une surcharge manifeste. De plus, la décision de classement sans suite étant du ressort du parquet, il serait logique que la responsabilité d'informer le plaignant lui revienne.
Cet amendement propose donc de supprimer la mention de possibles convocations par un OPJ, afin de privilégier des solutions moins chronophages.