Fabrication de la liasse

Amendement n°CL24

Déposé le vendredi 7 juin 2024
En traitement
Photo de madame la députée Émilie Chandler
Photo de monsieur le député Guillaume Gouffier Valente
Photo de madame la députée Caroline Abadie
Photo de monsieur le député Clément Beaune
Photo de monsieur le député Florent Boudié
Photo de monsieur le député Philippe Dunoyer
Photo de monsieur le député Sacha Houlié
Photo de monsieur le député Gilles Le Gendre
Photo de monsieur le député Ludovic Mendes
Photo de madame la députée Laure Miller
Photo de monsieur le député Didier Paris
Photo de monsieur le député Jean-Pierre Pont
Photo de monsieur le député Éric Poulliat
Photo de monsieur le député Thomas Rudigoz
Photo de monsieur le député Rémy Rebeyrotte
Photo de madame la députée Sarah Tanzilli
Photo de monsieur le député Jean Terlier
Photo de monsieur le député Guillaume Vuilletet
Photo de madame la députée Caroline Yadan

Sous réserve de son traitement par les services de l'Assemblée nationale et de sa recevabilité

I. – Rédiger ainsi les alinéa 4 et 5 : 

« b) Est ajouté un alinéa ainsi rédigé : 

« « Le procès-verbal de dépôt de plainte indique la préférence exprimée par la victime quant au mode de réception des informations relatives aux suites de la procédure. Ce mode est privilégié sauf circonstances particulières. » »

II. – En conséquence, supprimer l’alinéa 6.

Exposé sommaire

Le présent amendement propose de supprimer la liste des moyens par lesquels la victime d'une plainte classée sans suite peut en être notifiée recevoir l’information portant sur la suite de la procédure. En effet, il serait préférable de privilégier la voie réglementaire pour établir une telle liste afin de pouvoir la faire plus facilement évoluer en fonction des moyens dont disposent les parquets et des progrès des moyens de communication. La voie réglementaire permettrait une meilleure exhaustivité de cette liste. 

En outre, cet amendement entend supprimer la mention à une notification par "moyen alternatif dûment justifié" et ce, afin de laisser une marge de manœuvre plus importante aux parquets. Le moyen de communication indiqué par la victime reste toutefois largement privilégié "sauf circonstances particulières".