Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Marie Pochon
Photo de monsieur le député Charles Fournier
Photo de madame la députée Christine Arrighi
Photo de madame la députée Lisa Belluco
Photo de monsieur le député Karim Ben Cheikh
Photo de madame la députée Cyrielle Chatelain
Photo de madame la députée Marie-Charlotte Garin
Photo de monsieur le député Jérémie Iordanoff
Photo de madame la députée Julie Laernoes
Photo de monsieur le député Benjamin Lucas-Lundy
Photo de madame la députée Francesca Pasquini
Photo de monsieur le député Sébastien Peytavie
Photo de monsieur le député Jean-Claude Raux
Photo de madame la députée Sandra Regol
Photo de madame la députée Sandrine Rousseau
Photo de madame la députée Eva Sas
Photo de madame la députée Sabrina Sebaihi
Photo de monsieur le député Aurélien Taché
Photo de madame la députée Sophie Taillé-Polian
Photo de monsieur le député Nicolas Thierry

À l’alinéa 6, après le mot :

« année »,

insérer les mots :

« , adaptée aux recommandations sanitaires, en particulier sur la nécessaire réduction de la consommation de protéines animales et l’augmentation de la consommation de protéines végétales, ».

Exposé sommaire

Cet amendement intègre la nécessité de développer la consommation de protéines végétales, en cohérence avec les recommandations sanitaires. Santé Public France recommande ainsi de réduire la consommation de viande et de charcuterie, leur consommation augmentant les risques de cancer colorectal, de MCV et de diabète de type 2. 

Le développement des filières alimentaires des protéines végétales concourt aussi aux objectifs fixés dans la stratégie nationale sur les protéines végétales portée par le gouvernement, permettant à la fois aux éleveurs d’améliorer leur autonomie pour l’alimentation de leurs animaux, et à encourager les Français à augmenter leur consommation de protéines végétales, pour répondre aux nouvelles recommandations nutritionnelles. En décembre 2020, le Ministre de l’Agriculture de l’époque l’affirmait : “Ma priorité est claire : nous devons impérativement regagner en souveraineté agroalimentaire, et cela ne peut se faire sans le développement d’une production française de protéines végétales.” Il est ainsi nécessaire de mentionner dans ce projet de loi cet impératif. Tel est l’objet de cet amendement.