Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Jean-Claude Raux
Photo de madame la députée Marie Pochon
Photo de madame la députée Christine Arrighi
Photo de madame la députée Lisa Belluco
Photo de monsieur le député Karim Ben Cheikh
Photo de madame la députée Cyrielle Chatelain
Photo de monsieur le député Charles Fournier
Photo de madame la députée Marie-Charlotte Garin
Photo de monsieur le député Jérémie Iordanoff
Photo de madame la députée Julie Laernoes
Photo de monsieur le député Benjamin Lucas-Lundy
Photo de madame la députée Francesca Pasquini
Photo de monsieur le député Sébastien Peytavie
Photo de madame la députée Sandra Regol
Photo de madame la députée Sandrine Rousseau
Photo de madame la députée Eva Sas
Photo de madame la députée Sabrina Sebaihi
Photo de monsieur le député Aurélien Taché
Photo de madame la députée Sophie Taillé-Polian
Photo de monsieur le député Nicolas Thierry

Supprimer l’alinéa 7.

Exposé sommaire

Cet amendement du groupe Écologiste – NUPES vise à supprimer l’élargissement de l’enseignement supérieur agricole à l’enseignement supérieur privé. 

Le groupe Écologiste – NUPES défend la garantie pour toutes et tous, partout sur le territoire, de l’accès à une formation publique gratuite de qualité permettant d’atteindre les objectifs fixés par le présent projet de loi. 

Il n’y aura pas de renouvellement des générations sans formation, pas plus que de transition de l’agriculture sans un enseignement supérieur public agricole de qualité. Considérant que le modèle agricole est à bout de souffle et qu’il doit se régénérer, seul un enseignement public fort et soutenu permettra de construire le nouveau modèle agricole souhaité, souhaitable et soutenable. 

L’auteur du présent amendement soutient la restriction de l’enseignement supérieur privé et un renforcement de l’enseignement supérieur public, afin de garantir l’égalité d’accès et la qualité des formations délivrées. 

Le soutien à l’enseignement supérieur public agricole ne saurait être exempt d’un effort financier considérable de la part de l’État, sans quoi il ne pourra relever les défis de l’installation et de la transmission, de la souveraineté alimentaire et de la transition écologique qui s’imposent.