Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Francis Dubois
Photo de madame la députée Sylvie Bonnet
Photo de madame la députée Émilie Bonnivard
Photo de monsieur le député Jean-Yves Bony
Photo de monsieur le député Jean-Luc Bourgeaux
Photo de monsieur le député Hubert Brigand
Photo de monsieur le député Fabrice Brun
Photo de monsieur le député Mansour Kamardine
Photo de monsieur le député Vincent Descoeur
Photo de monsieur le député Patrick Hetzel
Photo de monsieur le député Nicolas Forissier
Photo de madame la députée Frédérique Meunier
Photo de madame la députée Isabelle Périgault
Photo de monsieur le député Nicolas Ray
Photo de monsieur le député Jean-Pierre Taite
Photo de madame la députée Véronique Louwagie
Photo de madame la députée Josiane Corneloup
Photo de monsieur le député Raphaël Schellenberger
Photo de madame la députée Isabelle Valentin
Photo de monsieur le député Pierre Vatin
Photo de monsieur le député Jean-Pierre Vigier
Photo de monsieur le député Stéphane Viry
Photo de monsieur le député Emmanuel Maquet
Photo de madame la députée Virginie Duby-Muller
Photo de monsieur le député Julien Dive
Photo de madame la députée Christelle Petex
Photo de monsieur le député Aurélien Pradié
Photo de madame la députée Michèle Tabarot
Photo de madame la députée Nathalie Serre
Photo de monsieur le député Philippe Juvin
Photo de madame la députée Justine Gruet
Photo de monsieur le député Ian Boucard
Photo de madame la députée Valérie Bazin-Malgras
Photo de madame la députée Anne-Laure Blin
Photo de monsieur le député Thibault Bazin
Photo de monsieur le député Yannick Neuder
Photo de madame la députée Annie Genevard

Après l’alinéa 29, insérer insérer l’alinéa suivant : 

« i bis) Garantir le respect du principe pas d’interdiction sans solution dans toute décision ou mesure législative relative au secteur agricole, en assurant que toute restriction ou interdiction est accompagnée d’une solution alternative viable permettant de préserver la souveraineté agricole du pays et protégeant les agriculteurs de toute concurrence déloyale au niveau européen et international ; »

Exposé sommaire

Aujourd’hui, les interdictions de produits phytopharmaceutiques visant des usages pour lesquels il n’existe pas encore d’alternatives techniques disponibles, assignent un nombre croissant d’agriculteurs à une situation d’impasse technique. 38 % des usages ne sont pas pourvus en solutions phytosanitaires et cette situation fragilise considérablement l’agriculture française et la souveraineté alimentaire.

Au cœur des revendications du monde agricole, figurait le « ras-le-bol » de ces interdictions sans solution nuisant à la productivité des exploitations et donc à la rémunération des éleveurs. 

De plus, de nombreux témoignages ont illustré la stigmatisation subie par les agriculteurs pouvant mener à des attaques physiques, ou visant le matériel et les exploitations, entrainant des dommages psychologiques et financiers majeurs. 

Par conséquent, il est crucial de souligner que toute politique agricole doit être mise en place de manière à ne pas stigmatiser les agriculteurs et à ne pas nuire à leur travail et leur production.

Le principe « pas d’interdiction sans solution » est essentiel pour atteindre cet objectif. En garantissant que toute restriction ou interdiction imposée aux activités agricoles est accompagnée d’une solution alternative viable, ce principe protège les intérêts des exploitants agricoles et évite de compromettre leur capacité à maintenir leur activité de manière durable. Il contribue également à préserver la souveraineté agricole du pays en préservant les exploitants de la concurrence déloyale étrangère.