Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Bérangère Couillard
Photo de monsieur le député Philippe Fait
Photo de monsieur le député Stéphane Buchou
Photo de madame la députée Béatrice Piron
Photo de monsieur le député Raphaël Gérard
Photo de monsieur le député Benoît Bordat
Photo de monsieur le député Jean-François Rousset
Photo de monsieur le député Olivier Dussopt
Photo de madame la députée Lysiane Métayer
Photo de madame la députée Anne Brugnera
Photo de madame la députée Mireille Clapot
Photo de monsieur le député Joël Giraud
Photo de madame la députée Anne-Cécile Violland
Photo de madame la députée Ingrid Dordain

À l’alinéa 5, après le mot :

« communiquer »,

insérer le mot :

« immédiatement ».

Exposé sommaire

Dans le cas où un médecin fait valoir sa clause de conscience, cet amendement vise à ce que ce dernier réoriente immédiatement la personne faisant état d’une demande d’aide à mourir, vers un médecin souhaitant participer à cette procédure. Cette écriture reprend l’écriture existante sur la clause de conscience relative à l’interruption volontaire de grossesse. 

Selon une étude réalisée par la Sfap, 52 % des médecins et 51 % des infirmiers envisageraient d’invoquer leur clause de conscience. Il semble donc essentiel de s’assurer de la bonne prise en charge de la personne demandant l’aide à mourir par un professionnel de santé.