Fabrication de la liasse
Tombé
(mercredi 27 novembre 2024)
Photo de monsieur le député Lionel Tivoli
Photo de monsieur le député Maxime Amblard
Photo de monsieur le député Hervé de Lépinau
Photo de monsieur le député Frédéric Falcon
Photo de madame la députée Géraldine Grangier
Photo de madame la députée Hélène Laporte
Photo de monsieur le député Robert Le Bourgeois
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Photo de monsieur le député Nicolas Meizonnet
Photo de monsieur le député Joseph Rivière
Photo de monsieur le député Frédéric Weber

À l’alinéa 13, après le mot : »

« renouvelables »

insérer les mots :

« et intermittentes ».

Exposé sommaire

Depuis de nombreuses années, la communication gouvernementale incite les ménages à réduire leur empreinte carbone, notamment à travers leur consommation d'énergie. Pour développer sa politique de transition énergétique, le gouvernement français déploie une série de mesure visant à faire adhérer les français aux énergies dites "renouvelables".

Pourtant, certaines de ces énergies n'ont de renouvelables que le nom, sont coûteuses, fabriquées à l'étranger et sont souvent impossibles à recycler. Derrière cette sémantique, les autorités font croire aux français qu'une énergie issue de panneaux photo-voltaïques, (panneaux produits à des milliers de kilomètres et impossibles à recycler), serait plus "renouvelable" qu'une énergie nucléaire produite en France, dont le rejet de CO2 dans l'atmosphère est minime.

Si la lutte contre le réchauffement climatique et le respect des accords de Paris sont des priorités, le rejet de nos émissions de gaz à effet de serre ne peut se faire sous un angle idéologique et contraire aux intérêts du savoir faire français. Le fiasco énergétique de nos voisins allemands devrait alerter les pouvoirs publics quant aux choix énergétiques à prendre. Le changement de sémantique est ainsi capital pour cesser de faire miroiter aux français des avancées qui n'en sont pas.