Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Pierre Marle
Photo de monsieur le député Sylvain Berrios
Photo de madame la députée Nathalie Colin-Oesterlé
Photo de monsieur le député François Gernigon
Photo de monsieur le député Jean Moulliere
Photo de monsieur le député Xavier Albertini
Photo de madame la députée Béatrice Bellamy
Photo de monsieur le député Thierry Benoit
Photo de monsieur le député Bertrand Bouyx
Photo de monsieur le député Jean-Michel Brard
Photo de madame la députée Agnès Firmin Le Bodo
Photo de monsieur le député David Guerin
Photo de madame la députée Félicie Gérard
Photo de monsieur le député Pierre Henriet
Photo de monsieur le député François Jolivet
Photo de monsieur le député Henri Alfandari
Photo de monsieur le député Loïc Kervran
Photo de monsieur le député Thomas Lam
Photo de madame la députée Anne Le Hénanff
Photo de monsieur le député Didier Lemaire
Photo de madame la députée Lise Magnier
Photo de monsieur le député Laurent Marcangeli
Photo de madame la députée Isabelle Mesnard
Photo de madame la députée Naïma Moutchou
Photo de monsieur le député Jérémie Patrier-Leitus
Photo de madame la députée Béatrice Piron
Photo de monsieur le député Christophe Plassard
Photo de monsieur le député Jean-François Portarrieu
Photo de madame la députée Isabelle Rauch
Photo de monsieur le député Xavier Roseren
Photo de madame la députée Laetitia Saint-Paul
Photo de monsieur le député Vincent Thiébaut
Photo de monsieur le député Frédéric Valletoux
Photo de madame la députée Anne-Cécile Violland

Au début de l’intitulé du chapitre Ier, après le mot :

« Abrogation »

insérer les mots : 

« , avec l’argent des Français que nous n’avons pas, ».

Exposé sommaire

Le groupe Horizons & Indépendants propose d’insérer les mots : «, avec l’argent des Français que nous n’avons pas, » après le mot « abrogation » dans l’intitulé du chapitre premier, pour souligner la gravité de la situation budgétaire actuelle et l’irresponsabilité de cette proposition.

La France traverse une crise budgétaire majeure, où chaque euro doit être investi avec discernement pour préserver nos services publics et garantir la pérennité de notre modèle social. Pourtant, cette proposition de loi, non financée, prévoit de dépenser des sommes colossales que l’État ne possède pas. Pire encore, ces dépenses seraient directement imputées à l’argent des Français, augmentant leur charge fiscale et creusant une dette déjà insoutenable.

En ignorant les alertes sur les déficits structurels des retraites et l’état de nos finances publiques, cette proposition de loi engage des dépenses qu’elle sait intenables. Introduire cette mention permet de rappeler qu’il est irresponsable d’alourdir encore une crise budgétaire sans précédent, au détriment de la solidarité nationale et de l’équilibre des comptes sociaux. Ce texte est une offense à la responsabilité économique et à l’intérêt général.