- Texte visé : Texte de la commission sur la proposition de loi de M. Olivier Falorni relative à la fin de vie (1100)., n° 1364-A0
- Stade de lecture : 1ère lecture (1ère assemblée saisie)
- Examiné par : Assemblée nationale (séance publique)
I. – À l’alinéa 8, substituer aux mots :
« selon la personne »,
les mots :
« d’après le diagnostic écrit d’un algologue ».
II. – En conséquence, au même alinéa 8, substituer aux mots :
« celle-ci »,
les mots :
« la personne ».
III. – En conséquence, compléter ledit alinéa 8 par les deux phrases suivantes :
« Les actes réalisés par l’algologue ne font l’objet d’aucune rémunération par la sécurité sociale. L’article 18 de la présente loi ne lui est pas applicable. ».
Le texte ne prévoit aucunement une consultation du malade par un médecin spécialiste de la douleur, et ce alors que l’appréciation des souffrances de la personne malade est présentée comme un critère clé de l’accès à l’euthanasie et au suicide assisté.
C’est ce que vise à rectifier cet amendement, dont le III. vise à passer la recevabilité financière.