Fabrication de la liasse

Amendement n°1950

Déposé le vendredi 9 mai 2025
En traitement
Photo de madame la députée Lisette Pollet
Photo de madame la députée Anne Sicard
Photo de monsieur le député Thibaut Monnier
Photo de monsieur le député Eddy Casterman
Photo de monsieur le député René Lioret
Photo de monsieur le député Christophe Bentz
Photo de madame la députée Joëlle Mélin
Photo de monsieur le député Alexandre Dufosset
Photo de madame la députée Marie-France Lorho
Photo de monsieur le député Hervé de Lépinau
Photo de madame la députée Florence Joubert
Photo de madame la députée Caroline Colombier
Photo de madame la députée Bénédicte Auzanot
Photo de monsieur le député Emmanuel Fouquart
Photo de monsieur le député Thierry Frappé
Photo de madame la députée Sophie Blanc
Photo de madame la députée Sandrine Dogor-Such
Photo de monsieur le député Alexandre Allegret-Pilot
Photo de madame la députée Michèle Martinez
Photo de monsieur le député Jorys Bovet
Photo de madame la députée Catherine Rimbert
Photo de monsieur le député Stéphane Rambaud
Photo de monsieur le député Jonathan Gery
Photo de monsieur le député Frédéric-Pierre Vos
Photo de monsieur le député Pierre Meurin
Photo de madame la députée Katiana Levavasseur
Photo de monsieur le député Julien Limongi
Photo de monsieur le député Frank Giletti

Sous réserve de son traitement par les services de l'Assemblée nationale et de sa recevabilité

Après l’alinéa 6, insérer l’alinéa suivant :

« Si ce report est supérieur à trois mois le médecin évalue à nouveau le caractère libre et éclairé de la manifestation de la volonté en mettant en œuvre la procédure définie au II de l’article L. 1111‑12‑4 du présent code ».

Exposé sommaire

Cet amendement a pour but de garantir l’intégrité du consentement en prévoyant que tout report de l’administration de la substance létale par la personne concernée de plus de trois mois rend nécessaire une nouvelle évaluation médicale et prise d’avis par le médecin.

Cette obligation est cohérente avec celle posée à l’alinéa 14 de l’article 6 de la proposition de loi.

Elle tend à garantir que le trop grand espacement entre deux décisions de poursuivre la procédure d’euthanasie ne trahit pas des doutes sur son opportunité.