Fabrication de la liasse

Amendement n°2275

Déposé le vendredi 9 mai 2025
En traitement
Photo de madame la députée Christine Loir
Photo de madame la députée Joëlle Mélin
Photo de madame la députée Marie-France Lorho
Photo de madame la députée Marine Hamelet
Photo de monsieur le député Eddy Casterman
Photo de monsieur le député Thibaut Monnier
Photo de madame la députée Anne Sicard
Photo de monsieur le député Théo Bernhardt
Photo de madame la députée Lisette Pollet
Photo de madame la députée Angélique Ranc
Photo de madame la députée Sandrine Dogor-Such
Photo de monsieur le député Nicolas Dragon
Photo de madame la députée Catherine Rimbert
Photo de monsieur le député Philippe Ballard
Photo de monsieur le député Jorys Bovet
Photo de madame la députée Sophie Blanc
Photo de monsieur le député Kévin Mauvieux
Photo de monsieur le député Hervé de Lépinau
Photo de madame la députée Anchya Bamana
Photo de madame la députée Bénédicte Auzanot
Photo de madame la députée Caroline Colombier
Photo de monsieur le député Jonathan Gery
Photo de monsieur le député Alexandre Dufosset
Photo de madame la députée Florence Joubert
Photo de monsieur le député José Beaurain
Photo de monsieur le député Frédéric Boccaletti
Photo de madame la députée Hélène Laporte
Photo de monsieur le député Frédéric-Pierre Vos
Photo de monsieur le député Auguste Evrard
Photo de madame la députée Gisèle Lelouis
Photo de monsieur le député Romain Tonussi
Photo de monsieur le député Thierry Frappé
Photo de madame la députée Katiana Levavasseur
Photo de monsieur le député Guillaume Bigot
Photo de madame la députée Laurence Robert-Dehault
Photo de monsieur le député Julien Limongi
Photo de monsieur le député Frank Giletti

Sous réserve de son traitement par les services de l'Assemblée nationale et de sa recevabilité

À l’alinéa 16, supprimer les mots :

« ou l’infirmier ».

Exposé sommaire

Les infirmiers voient leurs prérogatives renforcées depuis des années. La crise du Covid-19 a particulièrement mis en valeur l’importance des infirmiers. Permettre aux infirmiers d’administrer les doses létales aux patients revient à accentuer encore une fois la charge de travail et la charge mentale qui reposent sur eux.