Fabrication de la liasse

Amendement n°2641

Déposé le vendredi 9 mai 2025
En traitement
Photo de monsieur le député Alexandre Allegret-Pilot
Photo de madame la députée Sophie Ricourt Vaginay
Photo de madame la députée Véronique Besse
Photo de monsieur le député Bernard Chaix
Photo de madame la députée Brigitte Barèges
Photo de madame la députée Michèle Martinez
Photo de monsieur le député Marc Chavent
Photo de monsieur le député Stéphane Rambaud
Photo de monsieur le député René Lioret
Photo de madame la députée Anchya Bamana
Photo de madame la députée Joëlle Mélin
Photo de madame la députée Anne Sicard
Photo de monsieur le député Thibaut Monnier
Photo de monsieur le député Eddy Casterman
Photo de monsieur le député Frédéric Boccaletti

Sous réserve de son traitement par les services de l'Assemblée nationale et de sa recevabilité

Rédiger ainsi le titre :

« sur la mise à mort demandée ».

Exposé sommaire

L’expression « aide à mourir » est un euphémisme volontairement ambigu, qui tend à infantiliser et à induire en erreur nos concitoyens. Le législateur doit nommer clairement les actes pour assumer son intention, éviter les dérives d’interprétation et garantir tant l’intelligibilité de la norme que la sécurité juridique. En l’espèce, l’aide à mourir constitue une mise à mort qui ne résulte pas d’un jugement mais qui est institutionnalisée et nécessite le consentement des personnes concernées (celles qui exécutent la mise à mort et celle qui la sollicite).