- Texte visé : Projet de loi de finances pour 2019, n° 1255
- Stade de lecture : 1ère lecture (1ère assemblée saisie)
- Examiné par : Assemblée nationale (séance publique)
- Mission visée : Écologie, développement et mobilité durables
Modifier ainsi les crédits de paiement :
(en euros) | ||
Programmes | + | - |
Infrastructures et services de transports | 1 000 000 | 0 |
Affaires maritimes | 0 | 0 |
Paysages, eau et biodiversité | 0 | 0 |
Expertise, information géographique et météorologie | 0 | 0 |
Prévention des risques | 0 | 0 |
Énergie, climat et après-mines | 0 | 0 |
Service public de l'énergie | 0 | 0 |
Conduite et pilotage des politiques de l'écologie, du développement et de la mobilité durables | 0 | 1 000 000 |
TOTAUX | 1 000 000 | 1 000 000 |
SOLDE | 0 |
Transférer 1 000 000 euros du programme 217 (conduite et pilotage des politiques de l’écologie, du développement et de la mobilité durable), action 25 (commission nationale du débat public) vers le programme 203 (Infrastructure et services de transport), action 41 (Ferroviaire).
Le réseau ferroviaire méditerranéen est perpétuellement saturé. Au moindre incident, les passagers pâtissent de plusieurs dizaines minutes de retard.
Par exemple, sur la ligne entre Montpellier et Béziers, il y a un point particulièrement sensible : le pont levant Maréchal Foch à Sète, qui date de 1931. Vieux, « situé en atmosphère maritime, sa corrosion progresse et ses composants électromécaniques sont obsolètes », empêchant parfois sa fermeture. En outre, « un arrêté préfectoral impose de l’ouvrir 3 fois 20 minutes par jour par afin de permettre la circulation maritime. Cela diminue d’autant la capacité de la ligne ferroviaire ».
Pour les usagers, il convient d’apporter une réponse rapide.