Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Joël Aviragnet
Photo de madame la députée Ericka Bareigts
Photo de madame la députée Gisèle Biémouret
Photo de monsieur le député Boris Vallaud
Photo de madame la députée Valérie Rabault
Photo de madame la députée Marie-Noëlle Battistel
Photo de monsieur le député Christophe Bouillon
Photo de monsieur le député Jean-Louis Bricout
Photo de monsieur le député Luc Carvounas
Photo de monsieur le député Alain David
Photo de madame la députée Laurence Dumont
Photo de monsieur le député Olivier Faure
Photo de monsieur le député Guillaume Garot
Photo de monsieur le député David Habib
Photo de monsieur le député Christian Hutin
Photo de monsieur le député Régis Juanico
Photo de madame la députée Marietta Karamanli
Photo de monsieur le député Jérôme Lambert
Photo de monsieur le député Serge Letchimy
Photo de madame la députée Josette Manin
Photo de madame la députée George Pau-Langevin
Photo de madame la députée Christine Pirès Beaune
Photo de monsieur le député Dominique Potier
Photo de monsieur le député Joaquim Pueyo
Photo de monsieur le député Hervé Saulignac
Photo de madame la députée Sylvie Tolmont
Photo de madame la députée Cécile Untermaier
Photo de madame la députée Hélène Vainqueur-Christophe
Photo de madame la députée Michèle Victory

L’article L. 4362‑11 du code de la santé publique est complété par un 5° ainsi rédigé :

« 5° Les conditions dans lesquelles l’opticien-lunetier peut participer aux actions de prévention et de dépistage visuel à l’école maternelle et primaire telles que définies à l’article L. 541‑1 du code de l’éducation. Il oriente, le cas échéant, l’enfant vers les professionnels de santé et les structures spécialisées. »

Exposé sommaire

Cet amendement du groupe socialiste et apparentés propose d’autoriser les opticiens-lunetiers à participer aux actions de prévention et de dépistage visuel à l’école.

Selon une étude de la DRESS sur la Protection maternelle et infantile (PMI), 72 % des enfants de 3‑4 ans ont bénéficié d’un bilan de santé en 2012, 75 % ont eu un dépistage visuel.

Cela signifie qu’un quart de nos enfants ne bénéficient pas d’un dépistage visuel avant l’entrée au CP, classe au combien déterminante dans l’apprentissage de la lecture et pour le développement des enfants.

Il apparait donc comme une solution pragmatique de permettre aux opticiens-lunetiers de participer aux actions de prévention et de dépistage visuel à l’école afin de renforcer l’accès aux soins durant la scolarité.