Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Dominique Potier
Photo de madame la députée Marie-Noëlle Battistel
Photo de monsieur le député Régis Juanico
Photo de monsieur le député Boris Vallaud
Photo de monsieur le député Joël Aviragnet
Photo de madame la députée Ericka Bareigts
Photo de madame la députée Gisèle Biémouret
Photo de monsieur le député Christophe Bouillon
Photo de monsieur le député Jean-Louis Bricout
Photo de monsieur le député Luc Carvounas
Photo de monsieur le député Alain David
Photo de madame la députée Laurence Dumont
Photo de monsieur le député Olivier Faure
Photo de monsieur le député Guillaume Garot
Photo de monsieur le député David Habib
Photo de monsieur le député Christian Hutin
Photo de madame la députée Marietta Karamanli
Photo de monsieur le député Jérôme Lambert
Photo de monsieur le député Serge Letchimy
Photo de madame la députée Josette Manin
Photo de madame la députée George Pau-Langevin
Photo de madame la députée Christine Pires Beaune
Photo de monsieur le député Joaquim Pueyo
Photo de madame la députée Valérie Rabault
Photo de monsieur le député Hervé Saulignac
Photo de madame la députée Sylvie Tolmont
Photo de madame la députée Cécile Untermaier
Photo de madame la députée Hélène Vainqueur-Christophe
Photo de madame la députée Michèle Victory

Supprimer cet article.

Exposé sommaire

L’article 6 bis A introduit par le Sénat vise, pour l’ensemble des obligations sociales relevant du code du travail, à relever le seuil d’application de 50 salariés à 100 salariés. Ces obligations concernent en particulier les institutions représentatives du personnel.

Les députés socialistes et apparentés considèrent cette proposition comme inacceptable tant elle porte atteinte au dialogue social au sein de l’entreprise et à la représentativité syndicale.

S’il est regrettable que les diverses obligations sociales et fiscales qui s’appliquent aux entreprises se soient, avec le temps, concentrées sur le seuil de 50 salariés, cela nécessite de repenser l’ensemble des obligations sur l’ensemble des seuils sociaux et cette réflexion ne peut se faire sans les partenaires sociaux. En tout état de cause et en l’absence d’un tel travail, il est proposé de supprimer cet article.