Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Marine Brenier
Photo de madame la députée Josiane Corneloup
Photo de monsieur le député Jean-Marie Sermier
Photo de monsieur le député Éric Pauget
Photo de monsieur le député Jacques Cattin
Photo de monsieur le député Maxime Minot
Photo de madame la députée Emmanuelle Anthoine
Photo de madame la députée Valérie Bazin-Malgras
Photo de monsieur le député Jean-Claude Bouchet
Photo de monsieur le député Dino Cinieri
Photo de monsieur le député Pierre Cordier
Photo de monsieur le député Pierre-Henri Dumont
Photo de monsieur le député Didier Quentin
Photo de monsieur le député Arnaud Viala
Photo de monsieur le député Julien Dive
Photo de monsieur le député Robin Reda
Photo de madame la députée Laurence Trastour-Isnart
Photo de monsieur le député Philippe Meyer
Photo de madame la députée Bérengère Poletti
Photo de monsieur le député Patrick Hetzel
Photo de monsieur le député Ian Boucard
Photo de monsieur le député Julien Ravier
Photo de monsieur le député Claude de Ganay
Photo de monsieur le député Raphaël Schellenberger
Photo de madame la députée Nathalie Serre
Photo de monsieur le député Frédéric Reiss

I. – Après l’alinéa 2, insérer l’alinéa suivant : 

« Art. 35 sexies. – Dès lors que la diffusion des images d’un fonctionnaire de la police nationale ou d’un militaire de la gendarmerie nationale est nécessaire à la bonne transmission des faits par la presse, leurs visages doivent être systématiquement masqués, sous peine de sanctions pénales. »

II. – En conséquence, au début de l’alinéa 3, substituer à la référence :

« L’article 35 quinquies » 

les références :

« Les articles 35 quinquies et 35 sexies ».

III. – En conséquence, au même alinéa, substituer au mot :

« fait »

le mot :

« font ».

Exposé sommaire

L’article 24 tel que rédigé actuellement ne va pas assez loin dans la protection de nos forces de l’ordre. 

Contrairement à ce qui été demandé par de nombreux syndicats de police, il n’est pas prévu que le non floutage des agents en tous lieux et en tout temps soit considéré comme une infraction pénale. Pourtant, si nous voulons que nos forces de l’ordre soient les plus efficaces possibles, il est primordial qu’elles se sentent le plus en sécurité possible à titre individuel. 

Nous faisons face aujourd’hui à une véritable chasse aux forces de l’ordre sur les réseaux sociaux et cela doit cesser. Nous devons leur apporter un message fort de soutien. C’est l’objet de cet amendement.