Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Sylvain Templier
Photo de monsieur le député Pierre Cabaré
Photo de monsieur le député Stéphane Claireaux
Photo de madame la députée Nathalie Sarles
Photo de madame la députée Anissa Khedher
Photo de monsieur le député Jean-Charles Colas-Roy
Photo de monsieur le député Xavier Batut
Photo de monsieur le député Jean-Bernard Sempastous
Photo de monsieur le député Jacques Maire
Photo de madame la députée Sandrine Le Feur
Photo de madame la députée Marie Silin
Photo de madame la députée Pascale Boyer
Photo de monsieur le député Loïc Dombreval
Photo de madame la députée Zivka Park
Photo de madame la députée Sophie Panonacle
Photo de monsieur le député Jean-Luc Fugit
Photo de madame la députée Carole Bureau-Bonnard
Photo de madame la députée Françoise Ballet-Blu
Photo de madame la députée Annie Vidal
Photo de madame la députée Véronique Riotton

À la première phrase de l’alinéa 3, après le mot :

« notamment », 

insérer les mots : 

« de son application territoriale et ».

Exposé sommaire

L’article 59 du projet de loi dispose que le rapport d’évaluation étudie notamment les taux de fréquentation, l’impact sur le gaspillage alimentaire et la qualité nutritionnelle des repas. Cet amendement propose d’intégrer dans les critères majeurs d’évaluation, une analyse géographique du dispositif. Celle-ci nous permettrait de savoir quels sont les territoires en difficulté ou ayant des réticences. Nous pourrions ainsi analyser au cas par cas ce qui bloque et travailler à des propositions pour lever les problèmes. Enfin, au-delà de cet aspect géographique, il y a aussi une dimension sociale. En analysant un territoire nous analysons aussi une population. Il s’agirait donc d’évaluer quelles sont les catégories de populations qui seraient exclues de l’expérimentation, celle-ci se basant sur le volontariat.

 

Inclure la dimension géographique dans les critères principaux d’évaluation permettrait au gouvernement et à la représentation nationale d’appréhender de manière très précise les potentielles inégalités d’accès à la découverte des repas végétariens.