Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Vincent Descoeur
Photo de monsieur le député Fabrice Brun
Photo de madame la députée Valérie Beauvais
Photo de monsieur le député Jean-Yves Bony
Photo de monsieur le député Jean-Luc Bourgeaux
Photo de madame la députée Josiane Corneloup
Photo de monsieur le député Jean-Marie Sermier
Photo de monsieur le député Pierre Vatin
Photo de madame la députée Emmanuelle Anthoine
Photo de madame la députée Valérie Bazin-Malgras
Photo de monsieur le député Bernard Perrut
Photo de madame la députée Frédérique Meunier
Photo de monsieur le député Pierre-Henri Dumont
Photo de madame la députée Brigitte Kuster
Photo de madame la députée Edith Audibert
Photo de madame la députée Nathalie Porte
Photo de monsieur le député Gérard Menuel
Photo de madame la députée Sandra Boëlle
Photo de monsieur le député Jean-Pierre Vigier
Photo de monsieur le député Frédéric Reiss
Photo de monsieur le député Jean-Claude Bouchet
Photo de monsieur le député Alain Ramadier
Photo de monsieur le député Stéphane Viry
Photo de madame la députée Marie-Christine Dalloz

I. - À la fin de l’alinéa 11, substituer aux mots : 

« avec, par tranches de dix années, un objectif de réduction du rythme de l’artificialisation »

les mots : 

« en prenant en compte des différences territoriales. »

II. - En conséquence, après le même alinéa, insérer l’alinéa suivant :

« En concertation avec les collectivités territoriales, un décret précise les conditions de distinction des territoires qui doivent être prises en compte avant d’établir les pourcentages de réduction exigés par rapport à la surface de zone constructible pour chacun de ces types de territoires. »

Exposé sommaire

Cet amendement a pour objectif de s’assurer de la prise en compte des caractéristiques territoriales (urbaines, rurales, littorales, montagnardes) avant de fixer les pourcentages de réduction de l’artificialisation des sols exigés par rapport à la surface de zone constructible.  Les variétés géographiques de notre territoire impliquent des différences naturelles du taux d’artificialisation. Il convient de les prendre compte avant d’instaurer de nouvelles restrictions qui pourraient stopper le développement de certains territoires ruraux, notamment, et nuire à leur attractivité.