Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Sandra Regol
Photo de monsieur le député Jérémie Iordanoff
Photo de monsieur le député Benjamin Lucas-Lundy
Photo de madame la députée Christine Arrighi
Photo de monsieur le député Julien Bayou
Photo de madame la députée Lisa Belluco
Photo de monsieur le député Karim Ben Cheikh
Photo de madame la députée Cyrielle Chatelain
Photo de monsieur le député Charles Fournier
Photo de madame la députée Marie-Charlotte Garin
Photo de monsieur le député Hubert Julien-Laferrière
Photo de madame la députée Julie Laernoes
Photo de madame la députée Francesca Pasquini
Photo de monsieur le député Sébastien Peytavie
Photo de madame la députée Marie Pochon
Photo de monsieur le député Jean-Claude Raux
Photo de madame la députée Sandrine Rousseau
Photo de madame la députée Eva Sas
Photo de madame la députée Sabrina Sebaihi
Photo de monsieur le député Aurélien Taché
Photo de madame la députée Sophie Taillé-Polian
Photo de monsieur le député Nicolas Thierry

Après l’alinéa 401, insérer l’alinéa suivant :

« En complément de cette instruction au tir renforcée, sera également dispensée, tout au long de la carrière, un enseignement pratique aux techniques d’intervention opérationnelles rapprochées, afin que l’utilisation de moyens létaux par les agents reste toujours un moyen de dernier recours. Cette formation devra mettre particulièrement l’accent sur le nécessaire évitement des techniques de combat et d’immobilisation touchant les organes vitaux et les voies respiratoires. »

Exposé sommaire

Les auteurs de l’amendement considèrent que l’usage d’une arme à feu doit être et rester le dernier recours d’un agent des forces de l’ordre.

D’autres méthodes existent, faisant appel à des méthodes de combat au corps à corps afin de maîtriser des individus de manière non létale. A ce sujet, comme pour le tir, le volume horaire de formation est largement insuffisant et nuit à la capacité opérationnelle des unités.

L’amendement prévoit également que cette formation devra sensibiliser les agents à ne pas utiliser les techniques de combat et d’immobilisation touchant les organes vitaux et les voies respiratoires (coups portés au crâne ou à la glotte, clés d’étranglement, placage ventral, etc).

Cet enseignement doit être dispensé tout au long de la carrière et c’est précisément le but de cet amendement.