Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Sandra Regol
Photo de monsieur le député Jérémie Iordanoff
Photo de monsieur le député Benjamin Lucas-Lundy
Photo de madame la députée Christine Arrighi
Photo de monsieur le député Julien Bayou
Photo de madame la députée Lisa Belluco
Photo de monsieur le député Karim Ben Cheikh
Photo de madame la députée Cyrielle Chatelain
Photo de monsieur le député Charles Fournier
Photo de madame la députée Marie-Charlotte Garin
Photo de monsieur le député Hubert Julien-Laferrière
Photo de madame la députée Julie Laernoes
Photo de madame la députée Francesca Pasquini
Photo de monsieur le député Sébastien Peytavie
Photo de madame la députée Marie Pochon
Photo de monsieur le député Jean-Claude Raux
Photo de madame la députée Sandrine Rousseau
Photo de madame la députée Eva Sas
Photo de madame la députée Sabrina Sebaihi
Photo de monsieur le député Aurélien Taché
Photo de madame la députée Sophie Taillé-Polian
Photo de monsieur le député Nicolas Thierry

Après l’alinéa 435, insérer les deux alinéas suivants : 

« Le soutien psychologique peut également se faire auprès d’un psychologue extérieur.

« Les proches des forces de l’ordre peuvent également être pris en charge par un soutien psychologique. »

Exposé sommaire

A travers cet amendement nous demandons que les policiers et policières est accès aux psychologues indépendant afin de garantir la discrétion à cette demande d’aide, notamment dans cette profession, où parfois la carapace des agents est tellement dure qu’il est difficile de reconnaître que l’on a besoin d’aide et que le regard des autres peu biaisé. 

Nous demandons à ce que les familles puissent être prise en charge par un suivi psychologique car dans certains cas, le traumatisme que peut subir sur son lieu de travail une personne réagit sur son entourage.