Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Éric Pauget
Photo de monsieur le député Hubert Brigand
Photo de madame la députée Alexandra Martin (Alpes-Maritimes)
Photo de madame la députée Emmanuelle Anthoine
Photo de monsieur le député Pierre Vatin
Photo de madame la députée Véronique Louwagie
Photo de monsieur le député Patrick Hetzel
Photo de madame la députée Émilie Bonnivard
Photo de monsieur le député Ian Boucard
Photo de monsieur le député Meyer Habib
Photo de monsieur le député Alexandre Vincendet
Photo de monsieur le député Alexandre Portier
Photo de monsieur le député Yannick Neuder
Photo de madame la députée Anne-Laure Blin
Photo de monsieur le député Dino Cinieri
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Photo de madame la députée Frédérique Meunier
Photo de madame la députée Valérie Bazin-Malgras
Photo de monsieur le député Fabrice Brun
Photo de madame la députée Justine Gruet
Photo de monsieur le député Antoine Vermorel-Marques
Photo de monsieur le député Francis Dubois
Photo de monsieur le député Fabien Di Filippo
Photo de monsieur le député Emmanuel Maquet
Photo de monsieur le député Stéphane Viry
Photo de monsieur le député Jean-Pierre Taite

Compléter cet article par l'alinéa suivant :

« Art. 315‑3. – Les personnes définitivement condamnées pour une utilisation frauduleuse d’un bien immobilier ou une occupation sans droit ni titre, de mauvaise foi, d’un immeuble appartenant à un tiers, ayant commis l’infraction précitée en état de récidive légale, ne peuvent bénéficier de l’aide personnalisée au logement, de l’allocation de logement familiale et de l’allocation de logement sociale versées par les caisses d’allocation familiales, pendant une durée d’un an à compter de la date où sa condamnation est devenue définitive. »

Exposé sommaire

Amendement de repli au n°15

Cet amendement propose d'interdire le versement de l'aide personnalisée au logement (APL), de l'allocation de logement familiale (ALF) et de l'allocation de logement sociale (ALS) versées par les caisses d’allocation familiales pendant une durée d'un an, aux recidivistes définitivement condamnés pour une utilisation frauduleuse d’un bien immobilier ou une occupation sans droit ni titre, de mauvaise foi, d’un immeuble appartenant à un tiers.

Plus qu’une question de bon sens, il en va du respect de la morale publique !