Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Frédéric Falcon
Photo de monsieur le député José Beaurain
Photo de monsieur le député Emmanuel Blairy
Photo de monsieur le député Frédéric Boccaletti
Photo de madame la députée Pascale Bordes
Photo de monsieur le député Frédéric Cabrolier
Photo de monsieur le député Hervé de Lépinau
Photo de madame la députée Stéphanie Galzy
Photo de monsieur le député Christian Girard
Photo de monsieur le député Philippe Lottiaux
Photo de monsieur le député Stéphane Rambaud
Photo de madame la députée Angélique Ranc
Photo de monsieur le député Emeric Salmon
Photo de monsieur le député Sébastien Chenu
Photo de monsieur le député Yoann Gillet
Photo de madame la députée Laure Lavalette
Photo de monsieur le député Alexis Jolly
Photo de monsieur le député Frank Giletti
Photo de madame la députée Nathalie Da Conceicao Carvalho
Photo de monsieur le député Daniel Grenon
Photo de madame la députée Caroline Colombier

La seconde phrase du premier alinéa de l’article L. 515‑46 du code de l’environnement est complétée par les mots :

« sans que ces dernières soient inférieures à 200 000 euros par mégawatt installé. »

Exposé sommaire

Cet amendement a pour objectif d’augmenter la garantie financière pour le démantèlement qui aura lieu en fin de vie des éoliennes. Pour les centrales éoliennes en mer, il est encore plus nécessaire de prévoir et d’anticiper cette étape qui va arriver trop rapidement et surtout si à ce moment-là l’exploitant se retrouve en situation de faillite.
Il est indispensable d’anticipier cette situation et d’exiger une mise sous séquestre des sommes suffisantes pour la fin de vie de ces éoliennes. C’est déjà existant pour les centrales éoliennes terrestres, même si cela ne couvre absoluement pas l’intégralité des frais. Pour celles en mer avec donc un coût de démantèlement encore plus élevé il est indispensable de faire en sorte que ces frais soient à la charge des exploitants et non des contribuables.