Fabrication de la liasse
Tombé
(mardi 4 avril 2023)
Photo de monsieur le député Yannick Neuder
Photo de madame la députée Justine Gruet
Photo de monsieur le député Julien Dive
Photo de monsieur le député Fabien Di Filippo
Photo de madame la députée Isabelle Périgault
Photo de madame la députée Véronique Louwagie
Photo de monsieur le député Jean-Luc Bourgeaux
Photo de monsieur le député Jean-Yves Bony
Photo de monsieur le député Éric Pauget
Photo de monsieur le député Alexandre Portier
Photo de monsieur le député Patrick Hetzel
Photo de monsieur le député Hubert Brigand
Photo de madame la députée Christelle Petex
Photo de madame la députée Emmanuelle Anthoine
Photo de madame la députée Nathalie Serre
Photo de madame la députée Marie-Christine Dalloz
Photo de monsieur le député Vincent Seitlinger
Photo de monsieur le député Antoine Vermorel-Marques
Photo de madame la députée Josiane Corneloup
Photo de monsieur le député Jean-Pierre Taite
Photo de monsieur le député Dino Cinieri
Photo de monsieur le député Pierre Cordier
Photo de monsieur le député Nicolas Forissier

À l’alinéa 1, substituer aux mots :

« trois ans »

les mots :

« dix-huit mois ».

 

Exposé sommaire

Il est proposé que l’expérimentation par l’Etat de la carte professionnelle pour les intervenants de l’aide à domicile dans une sélection de territoires soit réduite de trois ans à 18 mois.

La carte professionnelle est une demande ancienne et unanime de tous les acteurs du secteur de l’accompagnement à domicile. Elle suscite une attente forte peu compatible avec un temps long. Aux termes de l’article 6, il faudrait attendre au plus tôt fin 2026 pour voir la généralisation de la carte professionnelle entrer en vigueur, alors que cet amendement permettrait de l’anticiper au début de l’année 2025.

En outre, sur le plan matériel, il semble raisonnable de tirer les conséquences d’une telle expérimentation en 18 mois (plutôt que trois ans). Car au fond, les impacts d’une carte professionnelle sont connus, en particulier depuis la crise sanitaire lié au Covid-19, à savoir : les autorisations de circulation et de stationnement, et, en cas de crise sanitaire, l’accès aux EPI, aux tests de dépistage et aux initiatives publiques comme privées facilitant le transport, l'hébergement, la garde d’enfants et l'accès aux outils numériques des professionnels.