Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Karine Lebon
Photo de monsieur le député Frédéric Maillot
Photo de madame la députée Émeline K/Bidi
Photo de monsieur le député Moetai Brotherson
Photo de monsieur le député Jean-Victor Castor
Photo de monsieur le député Steve Chailloux
Photo de monsieur le député Tematai Le Gayic
Photo de monsieur le député Marcellin Nadeau
Photo de monsieur le député Davy Rimane
Photo de monsieur le député Jiovanny William
Photo de monsieur le député Yannick Monnet
Photo de madame la députée Soumya Bourouaha
Photo de monsieur le député André Chassaigne
Photo de monsieur le député Pierre Dharréville
Photo de madame la députée Elsa Faucillon
Photo de monsieur le député Sébastien Jumel
Photo de monsieur le député Jean-Paul Lecoq
Photo de monsieur le député Stéphane Peu
Photo de monsieur le député Fabien Roussel
Photo de monsieur le député Nicolas Sansu
Photo de monsieur le député Jean-Marc Tellier
Photo de monsieur le député Hubert Wulfranc

Dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport concernant l’impact économique et social et sur la situation de leurs familles, de la maladie, du handicap ou de l’accident d’une particulière gravité qui affectent les enfants mineurs dans les collectivités d’outre-mer régies par les articles 73 et 74 de la Constitution. Ce rapport s’intéresse à l’évolution du nombre d’enfants concernés dans ces collectivités et recommande également de nouveaux dispositifs à mettre en place pour pallier les difficultés spécifiques de ces parents liées à l’insularité ou à l’éloignement.

Exposé sommaire

Le présent amendement demande l’élaboration d’un rapport concernant les difficultés rencontrées par les parents de mineurs ultramarins ayant une maladie reconnue comme affection de longue durée, notamment ceux dont l’accès aux soins nécessite une évacuation sanitaire vers l’Hexagone. La littérature laconique relative aux jeunes patients des collectivités d'outre-mer mérite d'être développée, les services de l'Etat et autres administrations ayant normalement tous les éléments nécessaires à la rédaction de ce rapport. Le manque de transparence de ces données rend en effet nécessaire l'élaboration d'un document spécifique qui rendra possible une meilleure orientation des politiques publiques à l'égard des populations ultramarines françaises.