Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Alexandre Portier
Photo de monsieur le député Stéphane Viry
Photo de monsieur le député Thibault Bazin
Photo de monsieur le député Jean-Yves Bony
Photo de monsieur le député Jean-Luc Bourgeaux
Photo de madame la députée Émilie Bonnivard
Photo de madame la députée Emmanuelle Anthoine
Photo de monsieur le député Hubert Brigand
Photo de monsieur le député Dino Cinieri
Photo de monsieur le député Marc Le Fur
Photo de monsieur le député Francis Dubois
Photo de madame la députée Véronique Louwagie

À la fin de l’alinéa 2, substituer aux mots :

« la formation à la conduite qu’ils proposent aux particuliers », 

les mots :

« l’apprentissage de la conduite des véhicules à moteur proposés aux particuliers et les délais médians observés dans chaque département pour obtenir une date de présentation aux épreuves théoriques et pratiques après demande effectuée auprès de l’autorité administrative ».

Exposé sommaire

L’augmentation des demandes de présentation aux examens du permis de conduire et l’effet de goulot d’étranglement en sortie de crise sanitaire sont venus allonger les délais d’attente, exacerbés par le manque d’inspecteurs du permis de conduire, particulièrement important dans certaines régions.

En effet, décrocher une place pour passer la conduite, après avoir acquis l’examen du code, nécessite le plus souvent des mois, voire relève de l’impossible – et si le premier essai est un échec, l’attente est de nouveau identique pour une nouvelle présentation. Par exemple, dans le département du Rhône, les inscrits doivent attendre 2 à 3 mois avant de pouvoir démarrer leur période d’apprentissage et 80 jours avant une nouvelle présentation.

Cet amendement vise donc rendre publics, via la création de la plateforme numérique nationale initiée par cette proposition de loi, les délais médians de chaque département pour obtenir une date de présentation aux épreuves théoriques et pratiques après demande effectuée auprès de l’autorité administrative.