Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Lionel Vuibert

Lionel Vuibert

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Photo de madame la députée Émilie Chandler

Émilie Chandler

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Photo de monsieur le député Charles Sitzenstuhl

Charles Sitzenstuhl

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Yannick Haury

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Christophe Marion

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Photo de madame la députée Laetitia Saint-Paul

Laetitia Saint-Paul

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Jean-Philippe Ardouin

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Photo de monsieur le député Jean-François Lovisolo

Jean-François Lovisolo

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Photo de madame la députée Lysiane Métayer

Lysiane Métayer

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Joël Giraud

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Compléter la quatrième phrase de l’alinéa 19 par les mots :

« ainsi qu’une revue complète de l’intérêt stratégique civil et militaire pour la France des zones polaires, nouvel espace de conflictualité, et en particulier de la militarisation de l’Arctique ».

Exposé sommaire

Reconnue dans le monde pour sa contribution à la recherche polaire, la France a connu depuis une vingtaine d’années un certain décrochage dans les zones polaires. Alors qu’elle occupe le sixième rang mondial pour ses publications scientifiques dans ce domaine, ses installations en Arctique et en Anctarctique sont vieillissantes et ont pâti de l’insuffisance des effectifs de l’Institut Paul-Emile Victor (IPEV), qui en gère toute la logistique.
 
Initialement dédiées à la recherche scientifique, les zones polaires ont vu émerger de nouveaux enjeux stratégiques, économiques et militaires. Or, dans un contexte de retour de l’affrontement interétatique sur le sol européen, il apparaît de plus en plus nécessaire de s’intéresser aux diverses possibilités d’engagement, alors que le consensus qui entourait l’Arctique semble remis en cause et que cette zone pourrait devenir un terrain d’opérations à horizon 2040. Un engagement sur ce théâtre dans le cadre d’une alliance poserait d’importants défis à l’armée de Terre, notamment en raison des conditions climatiques extrêmes et de la préparation opérationnelle spécifique que celles-ci imposent.