Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Freddy Sertin
Photo de madame la députée Émilie Chandler
Photo de monsieur le député Patrice Perrot
Photo de madame la députée Clara Chassaniol
Photo de madame la députée Caroline Yadan
Photo de madame la députée Christine Decodts
Photo de monsieur le député Charles Rodwell
Photo de monsieur le député Philippe Guillemard
Photo de madame la députée Julie Delpech
Photo de monsieur le député Paul Midy
Photo de madame la députée Fanta Berete
Photo de madame la députée Patricia Lemoine
Photo de madame la députée Servane Hugues
Photo de madame la députée Stella Dupont
Photo de madame la députée Lysiane Métayer
Photo de monsieur le député Vincent Ledoux
Photo de monsieur le député Benoit Mournet

Le code de la santé publique est ainsi modifié :

1° À la première phrase de l’article L. 2112‑4, après le mot : « réglementaire », sont insérés les mots : « pour une période maximale de cinq ans après avis de la Haute Autorité de santé ».

2° Le chapitre IV du titre II du livre Ier de la sixième partie est complété par un article L. 6124‑2 ainsi rédigé :

« Art. L. 6124‑2. – Pour des raisons de sécurité, certaines activités de soins peuvent être soumises à des conditions de fonctionnement particulières requises pour l’accueil de patients. Celles-ci sont fixées par décret pour une période maximale de cinq ans après avis de la Haute Autorité de santé. »

Exposé sommaire

Cet amendement a pour objectif que la Haute Autorité de Santé établisse des recommandations d’effectifs des professionnels de santé qui soient revues tous les 5 ans afin de garantir la sécurité des prises en charge.

Les effectifs des professionnels de santé dans les services de soins non programmés en gynécologie-obstétrique souffrent d’un manque d’actualisation amenant parfois des incohérences entre les effectifs supposés, les évolutions de l’organisation du système de santé et les besoins de santé publique.
Dès lors, il est proposé que la HAS établisse des recommandations d’effectifs qui soient revues tous les 5 ans afin de garantir la sécurité des prises en charge.