- Texte visé : Texte n°1336, adopté par la commission, sur la proposition de loi de M. Frédéric Valletoux et plusieurs de ses collègues visant à améliorer l'accès aux soins par l'engagement territorial des professionnels (1175)
- Stade de lecture : 1ère lecture (1ère assemblée saisie)
- Examiné par : Assemblée nationale (séance publique)
À l’alinéa 19, après le mot :
« premier »,
insérer les mots :
« ou de deuxième ».
Il convient que le directeur général de l’ARS s’intéresse aussi à améliorer l’accès aux soins de second recours (cardiologue, gynécologue, pédiatre, dermatologue…), à l’heure où la ruralité et les petites villes connaissent aussi une pénurie de médecins spécialistes.
Une récente étude de l’UFC-Que choisir sur les difficultés d’accès aux soins souligne que 47,6 % des habitants du département de l’Oise rencontrent des difficultés d’accès à un généraliste à moins de 30 minutes de leur domicile. La situation n’est pas enviable lorsqu’il s’agit d’un spécialiste : 45,6 % des parents ont des difficultés à accéder à un pédiatre, 36,7 % des femmes à un gynécologue et 32,6 % des habitants du département n’arrivent pas avoir un rendez-vous chez un ophtalmologue.