Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Guillaume Gouffier Valente
Photo de madame la députée Aurore Bergé
Photo de madame la députée Caroline Abadie
Photo de madame la députée Sabrina Agresti-Roubache
Photo de monsieur le député Florent Boudié
Photo de madame la députée Émilie Chandler
Photo de madame la députée Clara Chassaniol
Photo de monsieur le député Philippe Dunoyer
Photo de madame la députée Marie Guévenoux
Photo de monsieur le député Benjamin Haddad
Photo de monsieur le député Sacha Houlié
Photo de monsieur le député Gilles Le Gendre
Photo de madame la députée Marie Lebec
Photo de monsieur le député Ludovic Mendes
Photo de monsieur le député Jean-Pierre Pont
Photo de monsieur le député Éric Poulliat
Photo de monsieur le député Rémy Rebeyrotte
Photo de monsieur le député Thomas Rudigoz
Photo de madame la députée Sarah Tanzilli
Photo de monsieur le député Guillaume Vuilletet
Photo de monsieur le député Pieyre-Alexandre Anglade

Après la deuxième phrase de l’alinéa 388, insérer la phrase suivante :

« Il entend ainsi étendre le dispositif du « Téléphone grave danger » pour les victimes dans les cas où se présente un risque de réitération des violences à la fin de la peine de l’auteur. »

Exposé sommaire

Pour l’heure, les textes ne prévoient pas explicitement que le dispositif du Téléphone grave danger puisse être mis en place après l’exécution de la peine de l’auteur de violences. Pourtant, plusieurs cas récents montrent que la fin de la peine de l’auteur ne chasse pas les risques de réitération des violences à l’endroit des victimes.

Le présent amendement reprend la recommandation n°25 du rapport Rouge Vif en ce qu’il prévoit que le renforcement du dispositif de Téléphone Grave Danger (que prévoit le rapport annexé), passe par son extension aux situations de potentielles violences qui se dérouleraient après l’exécution d'une peine pour des précédentes violences.