- Texte visé : Projet de loi de finances pour 2024, n° 1680
- Stade de lecture : 1ère lecture (1ère assemblée saisie)
- Examiné par : Assemblée nationale (séance publique)
- Mission visée : Recherche et enseignement supérieur
Modifier ainsi les autorisations d'engagement et les crédits de paiement :
(en euros) | ||
Programmes | + | - |
Formations supérieures et recherche universitaire | 0 | 0 |
Vie étudiante | 0 | 3 000 000 |
Recherches scientifiques et technologiques pluridisciplinaires | 3 000 000 | 0 |
Recherche spatiale | 0 | 0 |
Recherche dans les domaines de l'énergie, du développement et de la mobilité durables | 0 | 0 |
Recherche et enseignement supérieur en matière économique et industrielle | 0 | 0 |
Recherche duale (civile et militaire) | 0 | 0 |
Enseignement supérieur et recherche agricoles | 0 | 0 |
TOTAUX | 3 000 000 | 3 000 000 |
SOLDE | 0 |
Nous proposons de transférer 3 000 000 euros de crédit au programme 172 destiné à l'IFREMER, prélevés à l'action 03 "Santé des étudiants et activités associatives, culturelles et sportives" du programme 231.
Par cet amendement nous proposons de lancer un nouveau projet de recherche pour l'IFREMER sur les nodules polymétalliques dans les fonds marins en ZEE française. La France conduit depuis les années 1980 plus d'une trentaine de missions, mais nous devons accélérer le rythme.
La recherche océanographique doit être une de nos priorités. En effet, une meilleur connaissance de nos ressources océaniques est absolument nécéssaire à notre souveraineté en mer. Avec les changements climatiques, de nouvelles zones de tensions vont apparaître et apparaissent d'ailleurs déjà. Le potentiel minier des fonds marins attise les convoitises. Ainsi, savoir ce que contient exactement nos fonds marins relève d'une priorité, et par conséquent des investissements dans notre capacité de recherche doivent être faits.