Fabrication de la liasse

Amendement n°II-CF2357

Déposé le lundi 23 octobre 2023
Discuté
Non soutenu
Photo de madame la députée Julie Delpech
Photo de madame la députée Eléonore Caroit
Photo de madame la députée Céline Calvez
Photo de madame la députée Lysiane Métayer
Photo de monsieur le député Joël Giraud
Photo de madame la députée Sarah Tanzilli
Photo de madame la députée Émilie Chandler
Photo de madame la députée Mireille Clapot
Photo de madame la députée Véronique Riotton
Photo de monsieur le député Jean Terlier
Photo de monsieur le député Guillaume Gouffier Valente
Photo de madame la députée Amélia Lakrafi
Photo de madame la députée Graziella Melchior
Photo de madame la députée Sophie Panonacle
Photo de monsieur le député Benoît Bordat
Photo de monsieur le député Philippe Guillemard
Photo de madame la députée Patricia Lemoine
Photo de madame la députée Laurence Cristol
Photo de monsieur le député Yannick Haury
Photo de monsieur le député Philippe Fait
Photo de madame la députée Pascale Boyer
Photo de monsieur le député Vincent Ledoux
Photo de madame la députée Stella Dupont
Photo de monsieur le député Jean-Marc Zulesi
Photo de madame la députée Anne Brugnera
Photo de monsieur le député Jean-Philippe Ardouin
Photo de madame la députée Laurence Heydel Grillere
Photo de monsieur le député Hadrien Ghomi
Photo de monsieur le député Éric Alauzet

Après l’alinéa 1500, insérer l’alinéa suivant :

« Part des crédits du programme n° 137 dédiés à la lutte contre la prostitution et à l’accompagnement des personnes prostituées financés par l’Agence de gestion et de recouvrement des avoirs saisis et confisqués (AGRASC) »

Exposé sommaire

La loi de 2016 de lutte contre le système prostitutionnel prévoyait initialement que l’ensemble des recettes de l’AGRASC soit reversée à la lutte contre la prostitution. Ce financement a aussitôt été en partie supprimé, dès la fin 2016, dans le PLF pour 2017, les recettes de l’AGRASC pouvant financer la lutte contre la prostitution entre bien d’autres choses. Le financement de cette politique essentielle est donc bien plus faible que prévu initialement mais il est surtout extrêmement fluctuant. La fixation d’un indicateur et de cibles sur cette part de financement permettrait de suivre celui-ci en transparence et de s’assurer qu’il soit maintenu à un niveau suffisant pour permettre aux associations, sur le terrain, de poursuivre leur mission difficile d’accompagnement des personnes qui souhaitent s’émanciper de la violence prostitutionnelle.