Fabrication de la liasse

Amendement n°II-CF655

Déposé le jeudi 19 octobre 2023
Discuté
Non soutenu
(mercredi 25 octobre 2023)
Photo de monsieur le député Michel Guiniot
Photo de monsieur le député Franck Allisio
Photo de monsieur le député Frédéric Cabrolier
Photo de monsieur le député Jocelyn Dessigny
Photo de madame la députée Géraldine Grangier
Photo de monsieur le député Philippe Lottiaux
Photo de monsieur le député Bryan Masson
Photo de monsieur le député Kévin Mauvieux
Photo de madame la députée Mathilde Paris
Photo de monsieur le député Alexandre Sabatou
Photo de monsieur le député Emeric Salmon
Photo de monsieur le député Jean-Philippe Tanguy

Modifier ainsi les crédits de paiement :

(en euros)
Programmes+-
Aide économique et financière au développement01 372 000
Renforcement des fonds propres de l'Agence française de développement00
Solidarité à l'égard des pays en développement1 372 0000
Restitution des "biens mal acquis"00
TOTAUX1 372 0001 372 000
SOLDE0
Exposé sommaire

Le présent amendement prévoit d’abonder les crédits, d’un montant de  1 372 000 euros en crédits de paiement, pour la sous-action n° 2.1.4 : « Les Fonds chrétien d’Orient » de l’action n° 2 : « Coopération bilatérale » du programme n° 209 : « Solidarité à l’égard des pays en développement » et, pour les besoins de la recevabilité financière, de minorer du même montant les crédits, en crédits de paiement, pour la sous-action n° 1.1 : « Fonds africain de développement (FAD) » de l’action n° 1 : « Aide économique et financières multilatérale » du programme n° 110 : « Aide économique et financière au développement ». En cas d’adoption de l’amendement, il est demandé au Gouvernement de lever cette dernière compensation.

 Le fonds africain de développement a pour objectif de fournir des ressources aux pays africains à faibles revenus pour financer des projets initiés par ces derniers. 37 pays en sont bénéficiaires, dont le Burkina Faso, le Malo et le Niger.

Cet amendement vise donc à retirer une proportion correspondante à ces trois pays qui rejettent l’intervention et l’aide de notre pays, pour financer le fonds de dotation au profit des oeuvres chrétiennes d’Orient, qui sont largement sous dotés.

L’argent du contribuable ne doit pas servir à financer des pays qui nous rejettent.