Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Charles Fournier
Photo de madame la députée Marie Pochon
Photo de madame la députée Christine Arrighi
Photo de madame la députée Lisa Belluco
Photo de monsieur le député Karim Ben Cheikh
Photo de madame la députée Cyrielle Chatelain
Photo de madame la députée Marie-Charlotte Garin
Photo de monsieur le député Jérémie Iordanoff
Photo de madame la députée Julie Laernoes
Photo de monsieur le député Benjamin Lucas-Lundy
Photo de madame la députée Francesca Pasquini
Photo de monsieur le député Sébastien Peytavie
Photo de monsieur le député Jean-Claude Raux
Photo de madame la députée Sandra Regol
Photo de madame la députée Sandrine Rousseau
Photo de madame la députée Eva Sas
Photo de madame la députée Sabrina Sebaihi
Photo de monsieur le député Aurélien Taché
Photo de madame la députée Sophie Taillé-Polian
Photo de monsieur le député Nicolas Thierry

Après l’alinéa 4, insérer l’alinéa suivant :

« L’exploitant agricole ne peut avoir à payer plus du tiers de la charge financière liée à la réalisation des diagnostics mentionnés au présent article. »

Exposé sommaire

Cet amendement vise à ajouter dans le texte une phrase indiquant clairement qu’il ne revient pas à l’agriculteur de s’acquitter entièrement de la charge prévue pour la réalisation du diagnostic prévu dans cet article. Nous proposons de fixer à un tiers la part maximale du coût du diagnostic dont il devrait s’acquitter. 

Le diagnostic prévu peut être pertinent, à condition qu’il ne reste pas un outil hors d’atteinte de la majorité des agriculteurs qui, parce que trop chère à mettre en place, serait délaissée. Il importe que l’Etat, les collectivités et tous les acteurs participant de la politique d’installation aident, y compris financièrement, à la mise en œuvre de ces diagnostics par les exploitants si nous souhaitons que ceux-ci se généralisent.