Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Jean-François Rousset
Photo de madame la députée Émilie Chandler
Photo de monsieur le député Philippe Fait
Photo de madame la députée Christine Decodts
Photo de monsieur le député Didier Le Gac
Photo de madame la députée Brigitte Liso
Photo de madame la députée Sophie Errante
Photo de monsieur le député Olivier Dussopt
Photo de madame la députée Patricia Lemoine
Photo de madame la députée Stella Dupont
Photo de madame la députée Michèle Peyron
Photo de monsieur le député Joël Giraud
Photo de madame la députée Cécile Rilhac
Photo de monsieur le député Gilles Le Gendre
Photo de madame la députée Anne-Laurence Petel

Compléter l’alinéa 6 par les mots :

« ou, à sa demande, par le professionnel de santé  présent ».

Exposé sommaire

Les membres de la convention citoyenne sur la fin de vie ont estimé à la majorité qu’il convenait de laisser au choix du patient le mode d’administration de la substance létale, soit par auto administration ou administration par un soignant.
 
Le projet de loi, tel que rédigé, prévoit la possibilité d’une administration de la substance létale par le professionnel de santé chargé d’accompagné la personne uniquement si le patient n’est pas en mesure d’y procéder physiquement.
 
Cet amendement prévoit donc la possibilité pour le patient de demander l’administration de la substance létale par le professionnel de santé présent même si le patient est en capacité physique de s’auto administrer la substance, parce qu’il le demande et parce que le soignant doit prendre en charge la demande jusqu’au bout.