Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Lisa Belluco
Photo de madame la députée Marie Pochon
Photo de madame la députée Christine Arrighi
Photo de monsieur le député Karim Ben Cheikh
Photo de madame la députée Cyrielle Chatelain
Photo de monsieur le député Charles Fournier
Photo de madame la députée Marie-Charlotte Garin
Photo de monsieur le député Jérémie Iordanoff
Photo de madame la députée Julie Laernoes
Photo de monsieur le député Benjamin Lucas-Lundy
Photo de madame la députée Francesca Pasquini
Photo de monsieur le député Sébastien Peytavie
Photo de monsieur le député Jean-Claude Raux
Photo de madame la députée Sandra Regol
Photo de madame la députée Sandrine Rousseau
Photo de madame la députée Eva Sas
Photo de madame la députée Sabrina Sebaihi
Photo de monsieur le député Aurélien Taché
Photo de madame la députée Sophie Taillé-Polian
Photo de monsieur le député Nicolas Thierry

À l’alinéa 9, substituer au mot :

« compétitivité » 

le mot : 

« résilience ».

Exposé sommaire

L'attractivité du métier de paysan n'est pas conditionnée par la compétitivité des exploitations. C'est en étant assuré d'être protégé faces aux aléas, et rémunéré pour son travail, que le métier devient attractif. On devient paysan par passion, par engagement - seuls sont intéressés par la compétitivité les acteurs qui exploitent les paysans, en établissant des prix toujours plus bas pour défier toutes concurrences.

C'est pourquoi la notion de compétitivité est remplacée par celle de résilience, plus adaptée pour soutenir l'installation de paysans.