Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Sébastien Jumel
Photo de madame la députée Soumya Bourouaha
Photo de monsieur le député Édouard Bénard
Photo de monsieur le député Jean-Victor Castor
Photo de monsieur le député Steve Chailloux
Photo de monsieur le député Pierre Dharréville
Photo de madame la députée Elsa Faucillon
Photo de madame la députée Émeline K/Bidi
Photo de monsieur le député Tematai Le Gayic
Photo de madame la députée Karine Lebon
Photo de monsieur le député Jean-Paul Lecoq
Photo de monsieur le député Frédéric Maillot
Photo de monsieur le député Yannick Monnet
Photo de monsieur le député Marcellin Nadeau
Photo de monsieur le député Stéphane Peu
Photo de madame la députée Mereana Reid Arbelot
Photo de monsieur le député Davy Rimane
Photo de monsieur le député Fabien Roussel
Photo de monsieur le député Nicolas Sansu
Photo de monsieur le député Jean-Marc Tellier
Photo de monsieur le député Jiovanny William

Au début de la seconde phrase de l’alinéa 2, supprimer les mots : 

« Si cette analyse révèle l’existence de tels besoins, » 

 

Exposé sommaire

Le présent amendement vise à proposer une approche plus ambitieuse et affirmative de l'objectif d'accroissements du nombre de personnes formés par le système de formation et d'enseignement agricole. Le dispositif présenté par le Gouvernement risque en effet de limiter le nombre de place à une évaluation rationnalisée des besoins, notamment d'un point de vue budgétaire. 

Le contrat territorial doit mobiliser les acteurs dans la réalisation d’actions en faveur de l’attractivité des formations et des classes à consolider ou à ouvrir. L'objectif à minima présenté par la DGER dans l’avant-projet de loi de décembre, est de conforter d’ici 2030, les 210 classes ayant un faible effectif d’élèves et d’accompagner l’ouverture de nouvelles classes (au moins 100). Plusieurs centaines de contrats territoriaux sont nécessaires pour diplômer des futurs actifs et renouveler les générations.

Le présent amendement a été travaillé avec le SNETAP FSU.