Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Michel Guiniot
Photo de monsieur le député Frédéric Cabrolier
Photo de madame la députée Laure Lavalette
Photo de monsieur le député Alexis Jolly
Photo de madame la députée Catherine Jaouen
Photo de madame la députée Marine Hamelet
Photo de madame la députée Yaël Ménaché
Photo de madame la députée Joëlle Mélin
Photo de monsieur le député Stéphane Rambaud
Photo de monsieur le député Sébastien Chenu
Photo de monsieur le député Emmanuel Taché de la Pagerie
Photo de madame la députée Laurence Robert-Dehault
Photo de madame la députée Michèle Martinez
Photo de madame la députée Florence Goulet
Photo de monsieur le député Daniel Grenon
Photo de monsieur le député Frédéric Boccaletti
Photo de madame la députée Lisette Pollet
Photo de madame la députée Julie Lechanteux
Photo de monsieur le député José Beaurain
Photo de monsieur le député Jordan Guitton
Photo de madame la députée Marie-France Lorho
Photo de monsieur le député Antoine Villedieu
Photo de monsieur le député Thierry Frappé
Photo de madame la députée Bénédicte Auzanot
Photo de monsieur le député Pierre Meurin
Photo de madame la députée Caroline Parmentier
Photo de monsieur le député Nicolas Meizonnet
Photo de madame la députée Gisèle Lelouis
Photo de monsieur le député Grégoire de Fournas
Photo de monsieur le député Philippe Schreck
Photo de madame la députée Katiana Levavasseur
Photo de monsieur le député Jorys Bovet

Compléter cet article par l’alinéa suivant : 

« Si la préparation ne peut être réalisée en raison de l’absence de ses composés, la procédure ne peut aboutir et doit faire l’objet d’une nouvelle demande dès que les stocks atteignent à nouveau des niveaux raisonnables. »

Exposé sommaire

Amendement d'appel. 

Il s'agit de mettre en avant la situation critique de la France vis-à-vis de l'approvisionnement en médicaments. Sans souveraineté sur ce plan, des milliers de médicaments ne peuvent parvenir aux patients pour les soigner. Il parait inconcevable de laisser des personnes souhaitant recourir à l’aide à mourir dans l'expectative de la délivrance de la substance létale, transformant ces personnes en condamnés dans le couloir de la mort. La procédure doit donc être reprise lorsque les médicaments sont disponibles, quitte à ce que le demandeur change d'avis dans l'intervalle.