Fabrication de la liasse
Rejeté
(vendredi 7 juin 2024)
Photo de madame la députée Sophie Panonacle

Sophie Panonacle

Membre du groupe Renaissance

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Photo de monsieur le député Philippe Berta

Philippe Berta

Membre du groupe Démocrate (MoDem et Indépendants)

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Photo de madame la députée Lysiane Métayer

Lysiane Métayer

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Lionel Vuibert

Membre du groupe Renaissance

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Karl Olive

Membre du groupe Renaissance

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Anne Brugnera

Membre du groupe Renaissance

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Patricia Lemoine

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À l’alinéa 4, substituer aux mots : 

« à mourir en fait la demande expresse à » 

les mots :

« médicale à mourir a le droit de demander l’étude de sa situation par ».

Exposé sommaire

L’article 7 précise les conditions de présentation d’une demande d’aide à mourir. La personne malade qui souhaite accéder à l’aide à mourir doit d’abord en faire la demande à un médecin. Le médecin qui accepte d’examiner cette demande, doit informer la personne sur son état de santé, les perspectives de son évolution, les traitements et les dispositifs d’accompagnement disponibles. Il manque une notion qui nous parait fondamentale : si nous nous accordons sur le fait que l’aide active à mourir ne peut pas être un droit pour les personnes malades, il est essentiel que la demande d’examen du dossier le soit.

Cet amendement a été travaillé avec l’Association pour la Recherche sur la Sclérose Latérale Amyotrophique (Maladie de Charcot).