Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Thibault Bazin
Photo de madame la députée Justine Gruet
Photo de madame la députée Sylvie Bonnet
Photo de monsieur le député Patrick Hetzel
Photo de monsieur le député Hubert Brigand
Photo de madame la députée Annie Genevard
Photo de madame la députée Marie-Christine Dalloz
Photo de monsieur le député Fabien Di Filippo
Photo de madame la députée Nathalie Serre
Photo de monsieur le député Xavier Breton

Supprimer cet article.

Exposé sommaire

Cet amendement ne prend en compte qu’une faible part de facteurs susceptibles de faire revenir le patient sur sa décision : opposition de la famille, de la personne de confiance, des proches ( L’arrêt Mortier de la CEDH qui a mis en lumière la partialité de la commission de contrôle belge  a été déclenché par la mise à l’écart de la famille  qui n’a eu connaissance du geste létal que quatre jours après ; tous les contentieux  sur les arrêts de traitement devant le Conseil d’État sont formés par des membres de la famille qui s’opposent aux arrêts de traitement), problèmes de fabrication du produit létal, décès prématuré du patient. Au surplus l’emploi des mots d’aide à mourir dans ce texte montre que l’euthanasie est déjà envisagée alors que théoriquement elle n’est réservée qu’au patient ne pouvant s’administrer la dose létale.