- Texte visé : Proposition de loi, adoptée par le Sénat, encadrant l'intervention des cabinets de conseil privés dans les politiques publiques, n° 366
- Stade de lecture : 1ère lecture (2ème assemblée saisie)
- Examiné par : Commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l'administration générale de la République
I. – Après le mot :
« conseil »,
rédiger ainsi la fin de l’alinéa 1 :
« relevant d’un marché signé postérieurement à la date de son entrée en vigueur. »
II. – En conséquence, au début de l’alinéa 2, substituer à la référence :
« 1° »
les mots :
« Sans préjudice des dispositions prévues au premier alinéa, ».
III. – En conséquence, au début de l’alinéa 3, substituer à la référence :
« 2° »
les mots :
« Sans préjudice des dispositions prévues au premier alinéa, ».
Au vu de l’ampleur des obligations qu’elle impose aux prestataires de conseil comme à l’administration et des sanctions qu’elle prévoit, la proposition de loi ne saurait s’appliquer au contrat en cours dès son entrée en vigueur, sauf à méconnaître le principe de sécurité juridique (Conseil d'État, Assemblée, 24 mars 2006, Société KPMG et autres, n° 288460).
Amendement travaillé avec Syntec Conseil.