Fabrication de la liasse

Amendement n°II-CF1790

Déposé le jeudi 24 octobre 2024
Discuté
Non soutenu
(mercredi 30 octobre 2024)
Photo de monsieur le député Christian Girard
Photo de monsieur le député José Gonzalez
Photo de madame la députée Claire Marais-Beuil
Photo de monsieur le député Emmanuel Fouquart
Photo de monsieur le député Anthony Boulogne
Photo de monsieur le député Philippe Lottiaux

Modifier ainsi les autorisations d'engagement et les crédits de paiement :

(en euros)
Programmes+-
Infrastructures et services de transports00
Affaires maritimes, pêche et aquaculture00
Paysages, eau et biodiversité00
Expertise, information géographique et météorologie00
Prévention des risques00
Énergie, climat et après-mines00
Service public de l'énergie00
Conduite et pilotage des politiques de l'écologie, du développement et de la mobilité durables02 000 000
Fonds d'accélération de la transition écologique dans les territoires00
Sûreté nucléaire et radioprotection00
TOTAUX02 000 000
SOLDE-2 000 000
Exposé sommaire

Cet amendement minore de 2 000 000 € de crédits, en autorisations d’engagement et en crédits de paiement, le programme 217 : « Conduite et pilotage des politiques de l'écologie, du développement et de la mobilité durable ».

Le programme 217 finance par exemple les actions 23, 25 et 28, c’est-à-dire respectivement les salaires des personnels œuvrant pour les politiques de l'énergie et du climat, des membres de la Commission nationale du débat public, et des personnels œuvrant dans le domaine de la stratégie et de la connaissance des politiques de transition écologique. L’utilité de la Commission nationale du débat a fait l’objet de nombreuses remises en cause, échouant à améliorer la participation publique dans l’élaboration des projets et des politiques publiques ayant un impact sur l’environnement, voire en les complexifiant davantage. Elle n’a pas plus été associée à des débats pourtant de premier plan, preuve qu’elle n’est pas considérée comme étant d’une grande utilité. En outre, les fonctionnaires bureaucrates ont démontré leur inutilité voire leur incompétence, notamment en ce qui concerne les politiques de l’énergie, ce qui justifie d’enlever des crédits de personnel.