2ème séance : Résorption de l'emploi précaire dans la focntion publique (suite)
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Val-de-Marne (4ème circonscription)
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Intervention en réunion de commission
Mercredi 22 février 2012 - Séance de 10 heures
Intervention en réunion de commission
Mercredi 15 février 2012 - Séance de 16 heures 30
M. Jacques Alain Bénisti attire l'attention de Mme la secrétaire d'État auprès du ministre du travail, de l'emploi et de la santé, chargée de la santé, sur les conditions de formation des ostéopathes professionnels dans la perspective d’une future modification de la réglementation de leur profession. Ils craignent la suppression de leur formation spécifique dans le cadre d'une filière globale de formation continue - en alternance - contrairement à la chiropractie qui ne semble pas visée. Ils souhaitent qu'une distinction claire soit faite entre les ostéopathes professionnels de santé et ceux qui ne le sont pas. Ils souhaitent que les conditions d'agrément des instituts de formation en ostéopathie pour les professionnels de santé soient distinguées de telle sorte qu'ils soient expressément qualifiés d'établissement de formation continue dépendant à ce titre du ministère du travail comme l'a d'ailleurs préconisé l'OMS. En conséquence, il lui demande de bien vouloir lui indiquer quelles sont les mesures envisagées pour satisfaire à ces légitimes revendications de la profession.
Voir la questionM. Jacques Alain Bénisti attire l'attention de Mme la secrétaire d'État auprès du ministre du travail, de l'emploi et de la santé, chargée de la santé, sur l'intérêt d'adapter le droit de prescription ouvert aux infirmiers. Depuis la loi du 21 décembre 2006 sur le financement de la sécurité sociale, les infirmières et infirmiers se sont vus conférer le droit de prescrire certains dispositifs médicaux figurant sur une liste fixée par arrêté (article L. 4311-1 du Code de la santé publique). Ainsi, l'arrêté du 13 avril 2007 fixant la liste des dispositifs médicaux que les infirmières et infirmiers sont autorisés à prescrire prévoit qu'ils puissent, notamment, prescrire des pansements, des dispositifs de perfusion à domicile ou des accessoires nécessaires à l'utilisation d'une chambre à cathéter ou d'un cathéter central tunnelisé. Pourtant, malgré ces dispositions il ne peuvent dans le même temps prescrire des solutions et produits antiseptiques indispensables au nettoyage des plaies et à la désinfection des tissus lors de la pose de ces dispositifs. Cette limitation a pour conséquence la nécessité d'obtenir une ordonnance du médecin pour ces produits ce qui va à contresens de la logique qui présidait à l'adoption de ce dispositif qui voulait simplifier l'activité des professionnels et des patients et être source d'économies potentielles pour l'assurance maladie.
Voir la questionM. Jacques Alain Bénisti interroge M. le ministre de l'éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative sur le traitement de la question des religions dans les manuels scolaires. Que soient enseignés les grands principes des religions, nous en sommes tous d'accord : Quelles sont les religions monothéistes ? Quels sont les livres sacrés des religions ? Quels sont les 5 piliers de l'Islam ? etc. Par contre, constater dans certains manuels destinés aux élèves de cinquième (Hatier 2001 et Belin 2010) qu'au prétexte de décrire des règles de vie, on mettait en avant l'infériorité de la femme, la polygamie ou encore les interdits alimentaires, donc des principes qui relèvent de l'intime et sont contraires aux principes républicains, sont choquants. Sans remettre en question les capacités pédagogiques des enseignants pour faire preuve de discernement et de neutralité dans leurs enseignements, certains en restent pour le moins circonspects. Ils craignent que ce soit interprété par certains jeunes comme autant d'encouragements au repli sur soi au sein du cercle familial puisque ces préceptes sont eux-mêmes repris dans les manuels de la République ! Au-delà d'une simple contradiction, il est possible d'y voir là un véritable travail de sape vis-à-vis des associations, des travailleurs sociaux, des animateurs, et bien sûr des enseignants qui, pendant ce temps, travaillent au « mieux vivre ensemble » et à la lutte contre les communautarismes. Aussi il lui demande de bien vouloir lui indiquer quelles sont les mesures qu'il entend prendre pour lutter contre ces dérives.
Voir la questionM. Jacques Alain Bénisti attire l'attention de M. le secrétaire d'État auprès du ministre de l'économie, des finances et de l'industrie, chargé du commerce, de l'artisanat, des petites et moyennes entreprises, du tourisme, des services, des professions libérales et de la consommation, sur les conséquences de la réforme de la Commission de la sécurité des consommateurs. Près d'un an après la date d'entrée en vigueur de la loi procédant au rapprochement de la Commission de la sécurité des consommateurs et de l'Institut national de la consommation, les membres de la Commission ont adopté lors de leur dernière séance plénière une motion dressant les constats suivants : la diminution du nombre de conseillers techniques de 6 à 4 qui rend l'accueil des commissions indépendantes impossible et le changement de locaux sans aucune visibilité sur d'éventuels projets de relogement futur. Les membres de la Commission de sécurité des consommateurs s'interrogent sur la légitime viabilité d'un rapprochement contre nature consistant à placer sous l'égide d'un EPIC les services d'une autorité administrative dont l'indépendance est l'un des fondements essentiels. Ils y voient un danger majeur de conflit d'intérêts. Dans ce contexte, seules des mesures fortes et rapides seraient susceptibles de garantir la pérennité de cette commission. Aussi, il lui demande quelles sont les mesures qu'il entend prendre pour garantir le bon fonctionnement et l'autonomie de cette Commission de la sécurité des consommateurs dont la mission participe au maintien de la sécurité des citoyens.
Voir la questionIntervention en séance publique
Intervention en séance publique
M. Jacques Alain Bénisti alerte Mme la ministre du budget, des comptes publics et de la réforme de l'État sur le différend qui oppose les pharmaciens à l'administration des douanes sur les contrôles et la taxation abusive de la vente d'alcool à 90° même dénaturée. Depuis peu, les douanes multiplient les contrôles et appliquent des amendes sur la base de l'article 111-0 F II 2° de l'annexe III du code général des impôts. Cette législation de 2001 n'avait jamais été appliquée jusqu'à maintenant et visait à éviter la vente de quantité d'alcool pour la distillation. Si l'on peut comprendre la volonté initiale du législateur, l'interprétation nouvelle et très restrictive du texte faite par l'administration des douanes abouti à ce que les pharmaciens refusent de vendre de l'alcool à 90°. Il est incompréhensible que l'immense majorité des officines qui ne vendent pas ce produit pour la distillation, soit pénalisée. Ceci sans information préalable et alors que la procédure de paiement de cette taxe est toujours aujourd'hui inconnue de ces professionnels. Afin de trouver une solution rapide à cette situation, il souhaiterait savoir quelles sont les réflexions en cours et s'il ne serait pas envisageable de préciser le décret concerné afin de lever cette ambiguïté d'interprétation et que l'alcool à 90° dénaturé ne soit plus taxé.
Voir la réponseM. Jacques Alain Bénisti alerte Mme la secrétaire d'État auprès du ministre du travail, de l'emploi et de la santé, chargée de la santé, sur le problème de la vente de l'alcool à 90° par les pharmaciens. Ces derniers refusent désormais de vendre ce produit suite à une recrudescence de contrôles douaniers qui aboutissent à infliger des amendes injustifiés et qu'ils ne savent d'ailleurs pas comment payer. Outre l'aspect purement financier, il apparaît que le décret qui concerne la vente d'alcool à 90° tel qu'il est actuellement rédigé, donne lieu à différentes interprétations. Afin de lever cette ambiguïté, il souhaiterait connaître les réflexions menées par votre ministère, et savoir s'il n'est pas envisageable de prévoir une distinction entre l'alcool à 90° et l'alcool à 90° dénaturé et de rappeler qu'en-deça d'une certaine quantité écoulée dans une année la vente d'alcool à 90° dénaturé n'est pas soumis à la législation de 2001.
Voir la réponseM. Jacques Alain Bénisti attire l'attention de Mme la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement sur l'accès au logement ainsi que les conditions de sortie des locataires. Alors que les locataires du secteur privé ont le taux d'effort le plus important pour se loger, l'UFC-Que Choisir de la Région Île-de-France a rendu publique une enquête inquiétante. Cette enquête visait à connaître les modalités pratiques d'accès à la location, vérifier la conformité des agences à leurs obligations légales, et apprécier le service offert aux candidats à la location. Le constat est alarmant. Ainsi, de nombreuses informations ne sont pas affichées par les agences, notamment leurs honoraires. De même, plus de trois mois après l'entrée en vigueur de l'obligation légale d'affichage de l'étiquette énergétique, peu respectent la loi. Le plus important étant que dans 83 % des cas, les agences demandent, pour la constitution du dossier, des documents interdits tels que attestation de l'employeur, attestation du précédent bailleur, etc. Enfin, ils ont constaté que les honoraires acquittés par les locataires sont prohibitifs, en moyenne, 1,1 mois de loyer hors charges. Au vu de ce constat, il semble opportun que des mesures soient prises pour simplifier l'accès au logement ainsi que les conditions de sortie des locataires. C'est pourquoi il lui demande quelles sont ses intentions en la matière.
Voir la réponseM. Jacques Alain Bénisti attire l'attention de Mme la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement sur le peu de fiabilité des diagnostics de performance énergétiques réalisés lors de la vente ou la location d'un logement. Plusieurs enquêtes ont révélé que les méthodes mises en oeuvre par ces opérateurs ne garantiraient pas un résultat fiable et donc opposable : un même bien peut ainsi être classé dans des classes énergétiques différentes en fonction de la méthode de diagnostic employée. Une telle dérive technique aboutit à dévaloriser le diagnostic de performance énergétique et à jeter légitimement la suspicion sur les opérateurs privés. Il appartient à l'État de clarifier les méthodes de diagnostic de performance énergétique en précisant les instruments et procédures de mesures. Il lui demande quelles sont les intentions du Gouvernement pour fiabiliser ces diagnostics.
Voir la réponseM. Jacques Alain Bénisti attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur la procédure d'autorisation d'exercice pour les médecins diplômés hors de l'UE et qui exercent pour la plupart depuis des années dans nos établissements de santé. On estime à environ 7 000 le nombre de médecins exerçant après le 10 juin 2004 et qui pourraient pallier en partie au problème soulevé par les déserts médicaux. Ces professionnels se trouvent dans une situation de double peine : non seulement ils sont menacés sur le plan professionnel puisqu'ils ne peuvent plus occuper des postes faisant fonction d'interne, mais ils sont également menacés sur le plan personnel de reconduite aux frontières car ils ne peuvent plus avoir de titre de séjour. Aussi, il souhaiterait savoir si le Gouvernement envisage de prendre des mesures spécifiques pour améliorer leur situation.
Voir la questionM. Jacques Alain Bénisti attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur les financements d'État que toutes les associations départementales du planning familial reçoivent chaque année au titre de leur statut d'établissement d'information, de conseil conjugal et familial. Le 11 mars 2009, un protocole a été signé pour trois ans entre le ministère de l'emploi et de la solidarité, le ministère de la santé et la présidente nationale du planning familial afin de maintenir le montant des subventions versées à ces établissements au moins au niveau de 2008. Or les lois de finances depuis 2009 inscrivent systématiquement au programme n° 106 du budget de l'État un montant de 2,1 millions d'euros alors que le montant nécessaire est de 2,6 millions d'euros. Afin d'éviter les multiples opérations d'ajustements qui retardent le versement des subventions aux associations, il lui demande s'il entend intervenir afin que le transfert des 500 000 euros soit effectué au programme n° 106, et ce avant déconcentration des crédits aux départements.
Voir la réponseM. Jacques Alain Bénisti attire l'attention de M. le garde des sceaux, ministre de la justice et des libertés, sur les préoccupations des associations de copropriétaires ont souligné les abus dont ils étaient victimes de la part de certains syndics. Le compte bancaire séparé, normalement obligatoire dans toute copropriété, et qui sont la règle dans tous les pays européens, n'est que très rarement ouvert, les syndics augmentant alors leurs honoraires de 20 %, voire plus. Alors même que seul le compte bancaire séparé peut offrir une réelle sécurité juridique et une transparence dans la gestion des fonds de la copropriété, il lui demande de prendre les mesures nécessaires pour que cessent les abus des syndics et pour que le compte séparé puisse être ouvert sans possibilité de dérogation. Par ailleurs, ses services préparent depuis près d'un an un projet de loi. Il souhaiterait savoir si ce texte va aboutir prochainement.
Voir la réponseM. Jacques Alain Bénisti attire l'attention de Mme la ministre de l'économie, des finances et de l'industrie sur la question des frais et de la mobilité bancaire des consommateurs. Les associations locales UFC-Que choisir de la région Créteil viennent de rendre publique une enquête sur les frais et la mobilité bancaire. Les résultats démontrent que les établissements bancaires ne jouent pas le jeu de la concurrence, et opposent de nombreux obstacles lorsqu'un client souhaite changer de banque. En effet, ils ont sollicité 222 agences de la région pour vérifier le niveau de prix des services et tester l'effectivité du service d'aide à la mobilité bancaire mis en place au 1er novembre 2009. L'évolution des prix entre 2004 et 2010 de trois produits stratégiques (carte bleue classique, commission d'intervention par incident, retrait au distributeur) met en évidence une hausse très supérieure à l'inflation constatée sur cette période (8 %): par exemple, la Banque postale a augmenté se 48,9 % sa commission d'intervention par incident sur cette période. De plus, malgré l'engagement pris par les banques, le changement d'établissement s'avère particulièrement difficile pour les consommateurs. D'après l'enquête, 65 % des conseillers financiers n'en parlent pas spontanément à un client qui vient les solliciter pour changer de banque. Dans 30 % des établissements, le client doit effectuer toutes les démarches et, dans 25 %, le travail est partagé avec la banque. Quant au délai nécessaire avant activation du compte, le consommateur d'Île-de-France doit attendre plus d'un mois dans 37 % des cas, alors que les banques s'étaient engagées à cinq jours ouvrés. Au vu de l'échec de l'autorégulation, il lui demande dans quelle mesure le Gouvernement envisage une réforme d'ampleur du secteur bancaire qui soit susceptible de dynamiser la concurrence, et en particulier d'assurer une véritable mobilité bancaire.
Voir la réponseM. Jacques Alain Bénisti attire l'attention de M. le secrétaire d'État chargé des transports afin d'éclaircir un imbroglio juridique relatif au contrat de travail des pilotes professionnels qui travaillent pour une administration. Il apparaît que la DGAC applique contractuellement le code du travail dans ses relations avec son personnel navigant, notamment concernant le temps de travail, la gestion des accidents du travail, les cotisations retraites... Cependant le code du travail n'est plus appliqué lorsqu'il s'agit d'un licenciement. En effet, l'administration applique le décret n° 86-83 relatif au règlement intérieur qui ne traite que des modalités indemnitaires qui doivent être versées par l'administration (puisque la DGAC ne cotise pas aux ASSEDIC) et non celui relatif aux conditions de rupture du contrat prévues par le décret n° 2006-1425. Aussi, il lui demande de bien vouloir lui confirmer que seul le code de l'aviation civile, ainsi que le décret n° 2006-1425, sont applicables au licenciement des personnels navigants de la DGAC et de lui préciser la procédure à suivre (CCP ou non) pour ces licenciements.
Voir la questionM. Jacques Alain Bénisti attire l'attention de Mme la ministre de l'économie, de l'industrie et de l'emploi sur les inquiétudes des souscripteurs de la Fédération mutualiste interdépartementale et plus particulièrement de l'Union régionale de la mutualité francilienne (URMF) quant à sa pérennité. En effet, cet organisme se trouve depuis plusieurs mois maintenant dans une situation financière difficile qui l'a même vu placé sous administration provisoire en début d'année. Aussi, il lui demande de bien vouloir lui faire part des mesures mises en oeuvre pour sauvegarder cet organisme ainsi que les intérêts de ses souscripteurs, assainir ses finances et garantir les emplois.
Voir la questionM. Jacques Alain Bénisti attire l'attention de Mme la ministre de la santé, de la jeunesse et des sports sur les inquiétudes de la profession des ostéopathes quant à l'application des décrets de l'article 75 de la loi du 4 mars 2002 concernant l'agrément des établissements dispensant une formation à l'ostéopathie. Il semble que certaines irrégularités apparaissent dans les textes qui ne prévoient nullement une seconde ré-intervention de la Commission nationale d'agrément, qui n'est donc pas compétente pour donner un nouvel avis. En outre, la Commission ne peut statuer dans le cadre des dispositions transitoires sur une demande adressée après le 1er mai 2007, comme le prévoit l'article 10. Il lui demande donc de bien vouloir lui indiquer les mesures prises pour garantir la sécurité des usagers, lorsque la loi agrée des établissements sans les compétences requises.
Voir la questionAssemblée nationale
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(la zone en rouge situe le banc)
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