Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Barbara Pompili
Photo de monsieur le député Christophe Arend
Photo de madame la députée Émilie Cariou
Photo de madame la députée Samantha Cazebonne
Photo de madame la députée Yolaine de Courson
Photo de monsieur le député Olivier Damaisin
Photo de monsieur le député Loïc Dombreval
Photo de monsieur le député Olivier Gaillard
Photo de monsieur le député Yannick Haury
Photo de madame la députée Stéphanie Kerbarh
Photo de monsieur le député Yannick Kerlogot
Photo de madame la députée Anissa Khedher
Photo de madame la députée Sandrine Le Feur
Photo de madame la députée Sandra Marsaud
Photo de monsieur le député Jean François Mbaye
Photo de monsieur le député Patrice Perrot
Photo de madame la députée Florence Provendier
Photo de madame la députée Nathalie Sarles
Photo de monsieur le député Denis Sommer
Photo de monsieur le député Stéphane Testé
Photo de monsieur le député Vincent Thiébaut
Photo de madame la députée Frédérique Tuffnell
Photo de madame la députée Laurence Vanceunebrock
Photo de monsieur le député Patrick Vignal
Photo de monsieur le député Jean-Marc Zulesi

Le premier alinéa de l’article L. 311‑5‑5 du code de l’énergie est complété par une phrase ainsi rédigée : « La capacité totale autorisée est limitée à 57,8 GW en 2030. À compter de 2035, la capacité totale autorisée est limitée à 50,6 GW. »

Exposé sommaire

Afin de répondre aux objectifs de la loi de Transition énergétique pour la croissance verte, le projet de Programmation Pluriannuelle de l’Energie (PPE) propose d’échelonner la fermeture de 12 à 14 réacteurs d’ici à 2035.

Le présent amendement permet d’inscrire dans la loi la trajectoire de 14 fermetures de réacteurs et ainsi de pérenniser les engagements pris par le Gouvernement pour une meilleure diversification du mix électrique.

La PPE est un outil de mise en œuvre de la politique énergétique, mais il n’existe aucune sanction applicable en cas de non-respect des objectifs qui y sont inscrits.

Il convient d’inscrire dans la loi les jalons intermédiaires permettant de réduire progressivement la part du nucléaire prévue dans la LTECV.