Fabrication de la liasse

Amendement n°CL1059

Déposé le samedi 2 novembre 2019
Discuté
Photo de monsieur le député Sacha Houlié
Photo de monsieur le député Guillaume Vuilletet
Photo de madame la députée Caroline Abadie
Photo de monsieur le député Pieyre-Alexandre Anglade
Photo de madame la députée Laetitia Avia
Photo de monsieur le député Florent Boudié
Photo de madame la députée Yaël Braun-Pivet
Photo de madame la députée Émilie Chalas
Photo de madame la députée Coralie Dubost
Photo de madame la députée Nicole Dubré-Chirat
Photo de monsieur le député Jean-François Eliaou
Photo de monsieur le député Christophe Euzet
Photo de monsieur le député Jean-Michel Fauvergue
Photo de madame la députée Paula Forteza
Photo de monsieur le député Raphaël Gauvain
Photo de monsieur le député Guillaume Gouffier Valente
Photo de madame la députée Émilie Guerel
Photo de madame la députée Marie Guévenoux
Photo de monsieur le député Dimitri Houbron
Photo de madame la députée Catherine Kamowski
Photo de madame la députée Alexandra Louis
Photo de monsieur le député Fabien Matras
Photo de monsieur le député Stéphane Mazars
Photo de monsieur le député Ludovic Mendes
Photo de monsieur le député Jean-Michel Mis
Photo de madame la députée Naïma Moutchou
Photo de madame la députée Valérie Oppelt
Photo de monsieur le député Didier Paris
Photo de monsieur le député Pierre Person
Photo de monsieur le député Jean-Pierre Pont
Photo de monsieur le député Rémy Rebeyrotte
Photo de monsieur le député Thomas Rudigoz
Photo de monsieur le député Pacôme Rupin
Photo de monsieur le député Jean Terlier
Photo de madame la députée Alice Thourot
Photo de monsieur le député Alain Tourret
Photo de madame la députée Hélène Zannier

À l’alinéa 5, substituer au mot :

« deux »

le mot :

« trois ».

Exposé sommaire

Cet amendement vise à instaurer un délai de trois mois pour permettre au représentant de l’Etat de se prononcer sur une demande de prise de position formelle recevable.

En effet, l’objectif de ce nouveau mécanisme est de sécuriser la prise de décisions techniquement complexes et/ou liées à l’application d'une norme nouvelle. Il ne conduit pas nécessairement à une réponse binaire. Il nécessite ainsi un travail approfondi de la part des services préfectoraux, qui doivent parfois consulter les services techniques de l'Etat voire les services d'administration centrale.

Au regard de cette exigence, un délai de trois mois apparaît nécessaire pour permettre aux services préfectoraux instructeurs de se prononcer expressément et de manière éclairée sur des situations pointues, sans les placer en difficulté, et sans remettre en cause la finalité de sécurité juridique et l’efficacité de ce nouveau dispositif.