Fabrication de la liasse

Amendement n°CD11

Déposé le lundi 12 décembre 2022
Discuté
Adopté
(mercredi 14 décembre 2022)
Photo de monsieur le député Jean-Luc Fugit
Photo de madame la députée Sandrine Le Feur
Photo de monsieur le député Damien Adam
Photo de monsieur le député Antoine Armand
Photo de madame la députée Pascale Boyer
Photo de monsieur le député Anthony Brosse
Photo de madame la députée Danielle Brulebois
Photo de monsieur le député Stéphane Buchou
Photo de monsieur le député Lionel Causse
Photo de monsieur le député Pierre Cazeneuve
Photo de madame la députée Christine Decodts
Photo de monsieur le député Yannick Haury
Photo de madame la députée Laurence Heydel Grillere
Photo de monsieur le député Jean-François Lovisolo
Photo de madame la députée Marjolaine Meynier-Millefert
Photo de madame la députée Sophie Panonacle
Photo de madame la députée Claire Colomb-Pitollat
Photo de madame la députée Huguette Tiegna
Photo de monsieur le député David Valence
Photo de monsieur le député Jean-Marc Zulesi

Supprimer cet article.

Exposé sommaire

La pollution de l’air est responsable de plusieurs dizaines de milliers de décès prématurés chaque année en France et génère de nombreuses maladies respiratoires. Elle a un coût sanitaire et socio- économique estimé à près de 100 milliards d’euros par an et a également un impact sur la biodiversité, les rendements agricoles ou encore la dégradation des bâtiments. La lutte contre la pollution atmosphérique est donc un enjeu environnemental et un enjeu majeur de santé publique.

Portées par l’État et les collectivités les ZFE-m ont été mises en place par la loi LOM et renforcées par la loi Climat et Résilience de 2021 pour précisément réduire l’impact des transports sur la pollution de l’air, impact principalement lié au véhicules utilisant des énergies fossiles qui sont la source principale des émissions d’oxydes d’azote et une source importante de particules fines.

Supprimer les ZFE-m, constituerait un recul majeur dans la politique conduite depuis le mandat précédent pour améliorer la qualité de l’air que nous respirons en milieu urbain dense, et la préservation de la santé respiratoire de toutes et tous en France.

Par conséquent le présent amendement propose la suppression de l’article premier de la proposition de loi.