Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Sandra Regol
Photo de monsieur le député Jérémie Iordanoff
Photo de monsieur le député Benjamin Lucas-Lundy
Photo de madame la députée Christine Arrighi
Photo de monsieur le député Nicolas Thierry
Photo de monsieur le député Julien Bayou
Photo de madame la députée Lisa Belluco
Photo de monsieur le député Karim Ben Cheikh
Photo de madame la députée Cyrielle Chatelain
Photo de monsieur le député Charles Fournier
Photo de madame la députée Marie-Charlotte Garin
Photo de monsieur le député Hubert Julien-Laferrière
Photo de madame la députée Julie Laernoes
Photo de madame la députée Francesca Pasquini
Photo de monsieur le député Sébastien Peytavie
Photo de madame la députée Marie Pochon
Photo de monsieur le député Jean-Claude Raux
Photo de madame la députée Sandrine Rousseau
Photo de madame la députée Eva Sas
Photo de madame la députée Sabrina Sebaihi
Photo de monsieur le député Aurélien Taché
Photo de madame la députée Sophie Taillé-Polian

L’article 15‑3 du code de procédure pénale est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« L’accueil, la prise en charge et le dépôt de plainte pour fait de violences sexistes, sexuelles ou conjugales sont réalisés dans une unité dédiée par un personnel formé à ces questions. »

Exposé sommaire

Cet article vise à améliorer la prise en charge des personnes victimes de violences sexistes, sexuelles, familiales ou conjugales, afin d'augmenter et d'assurer la confiance entre les personnes plaignantes et l'institution. La mise en place d'unités dédiées à ces infractions dans les commissariats permettrait d'offrir une meilleure prise en charge des victimes et de favoriser le dépôt de plainte, auquel les  victimes peuvent aujourd'hui renoncer par peur de faire l'objet de jugements ou d'une prise en charge inadaptée.